La stèle

La dragonne l’écouta en silence… Visiblement son mari n’était pas des plus sympathique…Elle ressentait malgré le faite qu’elle ne l’avait pas connue une vive haine a sont égard.

Et puis la dernier phrase de la jeune humaine déclencha quelque chose dans l’esprit de la dragonne…
Aräkann se sentit submergé, une vision s’empara d’elle…

Il se tenait la, baignent dans sont sang… Il avait terriblement mal mais il souriait.
Il lui souriait, il la dévisageait le regard joyeux, il était heureux qu’elle n’est rien….elle…
Ses écaille jadis verte n’était maintenant qu’un amas infâme de chaire, de sang et d’os brisé.
Mais il ne voulait pas de sont aide, il voulait qu’elle fui, qu’elle s’échappe pour vivre heureuse.
Tyl’chrak…

La dragonne se débattait contre la vision…non ! sont passé était derrière elle ! Elle voulait oublié !Tout !

Il fut prit d’un toussotement, sont regard changea un instant trahissant le calvaire qu’il endurait.
Il le savait tout deux, jamais il ne l’avouerait…
Bientôt des clameur leurs parvins les autre dragon arriverait.

Les yeux dilaté elle regardait le droit devant elle, agité de spasme…

Il lui hurlait de fuir… et il se relevait !
Elle avait penser un instant qu’il viendrait avec elle mais il lui tourna le dos, et commença a escaladé l’éboulement.
Il n’était plus en était de combattre ! Et pourtant…
Il se tenait fièrement , dresser là, attendent l’ennemis.

Aräkann agitait la tête désespérément, elle savait se qui allait suivre ! Elle ne voulait pas entendre ses derniers mots ! Non elle ne voulait pas !

Elle le regardait, lui, qui l’avait protéger et élever durant toute ses années ! Lui qui c’était condamnée la mort pour elle ! Lui qui maintenant allait défié une dizaine de dragon, sans sillé !

Aräkann était désormais au sol, impuissante a se qui lui arrivait.

Il se tourna vers elle, le regard franc, sur de lui et plein de tendresse.
Alors que dans sa tête c’élevait sa voie…les dernière parole, d’un être qu’elle avait aimé comme sont père…

Aräkann poussa un long gémissement, rempli de douleur et de tristesse…Les larme lui coulait des yeux, elle avait mal… mal a l’âmes.

« Vie, Aräkann… Vas et profite de la vie… »

La voie résonna un instant dans l’esprit de la dragonne mais aussi dans celui de Nirante.
Le silence se fit dans la clairière, laissent la dragonne au sol, épuisé.
Elle avait fermé les yeux, faisant le vide puis sa voie brisa le silence entre les deux compagne.

* Parfois je me dit que je suis une malédiction… Demande a ta pierre que… *

Aräkann se redressa, hésita une seconde et fini :

* Demande lui… Pourquoi? Demande lui pourquoi...simplement pourquoi... *

Elle s’éloigna, doucement et partit se coucher a l’hombre des arbres.

La tête de la dragonne vin se posé le long du dos de l’humaine dans un geste d’un infini tendresse.
* Oui moi aussi je ferait tout mon possible pour que tu ne soufre plus… *

Nirante dégageait une telle impression de bonté…De compassion…
Elle lui aurai donné son âme sans l’hombre d’une hésitation !Elles restèrent ainsi quelque instant, quelques minutes plutôt…
Puis la dragonne se redressa et dévisagea la compagne avec douceur.

*Les saler ?! Vous êtes bizarre vous ! pourquoi les salés ? *

La dragonne ne comprenait plus rien, salé des dragon ! On n’avait jamais vue ça ! Les dragonnerie a la limite mais salé un dragon ! C’était stupide ! Vraiment !

Aräkann battait doucement des ailles évitent soigneusement les turbulences, elle ne voulait pas de battre contre le vent, elle n’en avait ni la force ni l’envie et quitte a faire un détour elle préférait volé sans effort.

[HRP: a la basse c'est une faute de frappe mais j'ai trouvé sa plus marent que: les seller? c'est quoi les seller? ]

Hrp : tu as bien fait ! Et désolée du retard !

* Pas les saler ! *

Nirante éclata de rire. Elle réalisa alors que la dragonne ne devait pas connaître les selles...

* Une selle sert au chevalier dragon à ne pas se faire mal, parce qu'à force, le frottement des écailles du dragon abime sa peau.*

Aussitôt, la jeune femme pensa à ses propres jambes. Elle fut soulager de voir que sa robe, malgré tous les désagréments qu'elle lui causait, pouvait se révéler utile.

* Ne t'inquiète pas, ajouta-t-elle, pas d'inquiétude, ma robe m'empêche de bien me tenir, je suis à moitié en amazone, je ne risque rien. Et je nous ferai faire une selle magnifique ! *

Nirante caressa le cou écailleux de son amie avec tendresse.

*Raconte-moi...* se contenta-t-elle de penser.

Elle tentait de ne pas trop regarder en bas, il lui faudrait encore un ou deux vols pour s'habituer à la hauteur.

Aräkann resta silencieuse quelque instant puis commença :

* On dit des Sombres qu’ils sont l’inconscient des être pure…leur côté maléfique
La légende veux qu’ils soient le mal incarné et qu’autour deux ne naisse que malheur et destruction, mais leur histoire est d’autant plus tragique qu’il ne peuvent échappé a leur destin, car même élever dans l’ignorance de leur origine celles-ci finissent toujours par les rattrapé *

La dragonne tournas la tête vers sa cavalière pour vérifier qu’elle avait toute sont attention.

*Pourtant avant, il n’avait rien de différent au autre dragon…
Cette ligné est issue d’un malheur… *

L’histoire qui suivi contait les mérite d’une douce Dame et de son dragon. D’une union incroyablement forte et de la confiance que l’un accordait a l’autre…
Jamais aucun des deux n’avait engendré la mort et mieux encore ! Partout ou ils passaient l’espoir renaissait.
Les deux compagnon furent bientôt connu dans tout les mondes. Et c’est ce qui engendra leur perte.
Aräkann conta aussi la jalousie d’un frère… et le meurtre de la belle Dame sans que sont compagnon ne puisse rien faire d’autre que de regardé…

Il regardait le cadavre comme si il ne le connaissait pas, et pourtant toute sa vie avait été rythmée pas ses rires, ses joies et ses peines.
Depuis quelque heure déjà qu’il était incapable de ressentir autre chose que le vide.
Un vide…un immense vide qu’il ne pourrait jamais être comblé.
Cette sensation de manque qui le tenaillait, lui faisant oublié tout autre sentiment.

Depuis des jours il était là, couché a l’entré de la grotte ou il l’avait emmener, le regard fixé sur le corps de sa compagnon d’infortune ne parvenant pas a comprendre se qui lui arrivait.
Elle était maintenant plus froide que la glace mais il ne pouvait se résoudre a l’abandonné. Ce corps maintenant dénuer d’un quelconque morceau d’espérance, il était née pour elle et ne pouvait comprendre qu’elle soit partie, a jamais.
Sa dame a lui, qui avait rythmé jusqu’au battement de sont cœur…comment avait-elle put partire sans lui ?

Maintenant c’était les larme qui naissait de ses yeux, et qui courait sur ses écaille désormais d’un noire de jaie qui lui dictait le temps…
C’était le bruit régulier de sont cœur qui brisait sont silence.
Il était las de vivre, las a la simple idée qu’elle n’était plus là.

Le dragon ne regardait plus dehors en quête d’une hypothétique aide, a quoi bon puisqu’elle était partie.
Il n’avait plus qu’un désir se couché prés d’elle et veiller sur son corps pour qu’il ne lui arrive rien, en attendent qu’elle revienne la chercher.
Il voulait mourir ! Maintenant il comprenait pourquoi certain dragon se tuait pour rejoindre leur paire… simplement pour fuir la douleur et la peine…
Mais lui ? Pourquoi ne le faisait-il pas ? Pourquoi n’abrégeait t-il pas la souffrance qui lui consumait le cœur et l’esprit ?

Le dragon secoua la tête, il ne pouvait pas ! Il lui avait promis de l’attendre ! De toute manière il ne pouvait pas s’y résoudre, non, pas avant de leurs avoir fait payer !

Tenté de la vengé a tout prix, jusqu’a son dernier souffle, voilà les derniers mots qu’il lui avait prononcé a l’esprit avant sa mort…
Le dragon décrocha comme a regret son regard du cadavre, cela n’avait plus aucun sens de s’accroché au vide… de s’accroché a la plaie sanguinolente qu’elle avait inconsciemment ouverte en le quittant.

Il tendit la pâte et la saisi délicatement. Bientôt le corps inerte de se qui avait été sa compagne était contre lui, alors qu’il pleurait sont désespoir.
Finalement lui aussi il était mort en même temps qu’elle…

Le soleil enfin se levait
Doucement mon corps frémissait
Je pouvait enfin reposé
Auprès de ton corps décharné

Dans ce rêve passé
Tu avais les yeux révulsé
Le visage torturé

Tu te noyais dans un flot de terreur
Et ne pouvais sortir de cette torpeur
Pour toi, j’avait peur !

A mon cœur défaillent
Je crue ne pas te perdre a cette instant
Je te croyait endormie ! et pourtant…

Ce n’était visiblement pas le temps qui passe
Et qui s’écoule, se fige et vous surpasse
Ce temps ou toute les douleurs trépasses

Moi je reste là, figé attendent
Quoi exactement ?
Sans doute le moment…

Ce moment qui me feras partir
Ce moment ou j’arrêterait de frémir
Et mon corps de souffrir

Je me souviendrait longtemps de cette acre odeur
De douleur et de peur. Mais maintenant ?
Maintenant tu est là, pâle sur ton linceul blanc
Du quelle la froide mort ta doucement tiré.

Le regard noire du dragon se posa sur le paysage, sur le lointain.
Il leur ferait payer a tout cette affront ! Et pour la première fois de ses griffe coulerait le sang…
Le dragon de jadis avait perdue toute son ardeur, les écailles reflétait sont esprit, d’une noirceur implacable, et les yeux du saurien reflétait a merveille l’état d’esprit dans le quelle il se trouvait : une coquille, vide de tout sentiment…


Aräkann sortit de sont récit un instant mais s’y replongea aussitôt finissant de conté l’histoire du premier Sombre.
Décrivant comment après avoir tuer l’assassin de sa compagne il avait tout détruit sur sont passage laissent ainsi place a la nature même du sombre, la colère ,la haine et la passion dans sont sens premier.
La dragonne raconta aussi comment l’esprit de la Dame apprennent les crimes que sont compagnon commettait en sont nom, ne vint jamais cherché sont âme, le condamnent lui et sa douleur a vagabondé éternellement dans les mondes… Le tragique destin de la progéniture illégitime du dragon ne fut pas nom plus hormis.

Le bleu fini sont récit en expliquent a Nirante pourquoi la ligné c’était entre déchiré et avait tenté désespérément de dilué le plus possible le sang maudit… Sans résultat.


[ Ouf! la taille du post! Je suis désolé Nirante tu vas avoir de la lecture ]

HRP : c'était maginifique ! Je suis arrivée à la fin du post sans m'en rendre compte !

Nirante sentait les larmes monter. Quelle douleur serait la sienne si elle perdait Aräkann ? Elle n'osait même pas l'imaginer !
Elle caressa les écailles bleues avec douceur, comme pour rappeler à son amie son affection.

- Pourquoi ses descendants patissent-ils des actes de leur ancêtres ? Ce n'est pas juste ! Qu'arrive-t-il à ces dragons ? Comment se révèle cette malédiction ?

L’humaine put sentir un léger frisson parcourir les écaille de sa compagne.

Elle qui la-haut vivait parmi les étoiles, elle qui côtoyait les cieux et les nuages, jamais elle n’aurais dut ressentir la douleur de son compagnon ! Et pourtant…
Leurs cœur battait a l’unisson, leurs âmes que même la mort n’était parvenue a séparé entièrement, vibrait en harmonie.
Alors comment aurait-elle pus resté de marbre a la détresse de celui qui finalement n’était autre qu’une partie d’elle même ?
Le temps les avaient façonné tout deux, et de deux être indépendant il avait conçue un être parfait et unique… Un être véritablement entier…

Malgré la promesse qu’elle c’était faîte elle vint le chercher, mais une haine farouche avait envahit la cœur de sont compagnon. Il était devenu hargneux, insensible et violent…
Pourtant il la reconnue, mais ils savaient tout deux que même si il allait avec elle jamais ils ne pourraient se retrouver dans la mort, ils étaient comme deux jumeaux qui se retrouvaient, ils devaient tout réapprendre l’un de l’autre.

Mais elle resterait dans les cieux et lui sombrerait dans le chaos, et cela aucun des deux ne le voulait…

On dit qu’ils on trouvé la clé de leur bonheur en bafouent les règles, afin de pouvoir vivre en paix . Elle a sus trouvé le moyen de ce lié entièrement a lui. L’être unique qu’ils était devenus échappait ainsi a toute les règles, même a celle de la mort diton…
Mais tout les deux savait que la douleur qu’ils avaient si soudainement rejeté pour vivre leurs rêves n’avait pas disparue, on entendait partout dans les contrés qu’elle c’était au contraire matérialisé.
C’est pourquoi certain hommes a la recherche de puissance se mire en quête de la trouver car les légende contait quelle offrait a sont possesseur une infini puissance.

Cette force et cette souffrance ce n’était autres que la progéniture même du dragon…Enfoui au plus profond de leurs âmes elle se terrait attendent une douleur, un moment de faiblesse pour les submergés…

* personne n’a réussi a lever le « maléfice » quelque légende die que les sombre seront en paix uniquement quand toute la haine sera dissipé mais depuis le temps… *

[hrp : Bof moins bien que la précédente ! j’espère quelle te plaira quand même ]

Je tiens à m'excuser ! A cause des exams je n'ai pas pu venir répondre !

Nirante ferma les yeux un moment, elle se sentait triste.

- Aräkann... S'il m'arrivait quelque chose, promet-moi de ne rien faire de tel ! Promet-moi de chercher à vivre tout de même, de rejoindre les tiens comme aux temps où tu n'avais pas de compagnon humain... ou de te lier à une autre... Promet-le moi !

L'émotion faisait trembler la voix de la dame, elle était au bord des larmes.

Aräkann sentait la détresse de sa compagne, dans un flot de compassion elle fit communiqué a Nirante un fort sentiment de douceur et de réconfort [Tic tac :d]

*Il ne t’arriveras rien, ne t’inquiète pas…* Se contenta t’elle de dire.

Bientôt devant elle se profilait la silhouette de château de la dame.
*Tien je crois que l’on est arrivé, mais dit moi… c’est jolie chez toi !*

Au fur et a mesure qu’elles s’approchait du sol de petite silhouette ce détachait.
* Je crois que l’on est pas les première ! *

Suite Diner en début de soirée

[Retour a la stèle ]

Elle regardait son hombre défilé sur la voûte verdoyante de la foret. Celle-ci au fut et a mesure que le soleil se couchait avait prit une teinte émeraude et jade absolument superbe.
Le dragonne détacha son regard de cette mer végétal pour prendre un peu d’altitude.
Nirante avait dit que la pierre était magique…

La dragonne repéra la clairière ou quelque temps plutôt elle se trouvait accompagné de sa dame. Elle s’y posa.

L’endroit était tell qu’elle l’avait quitté, calme et reposant. Mais Aräkann ne s’y trompait pas, et prenait grade a ne pas trop s’approché de la pierre.

« Tu a d’étrange pourvoir tu sais… Faire resurgir les souvenirs les plus dur a un dragon semi amnésique… se n’est pas courant ! »

La dragonne parlait doucement, avec une lassitude palpable.
« Je souhaitait oublié et tu m’a rappeler… Nirante crois que tu exauce les veux mais en est tu bien sur ? Je ne voulait pas me souvenir et … »

La dragonne se tut, et si la pierre n’avait fait qu’exaucé son souhait…
Aräkann écarquilla les yeux sous la surprise de son propre résonnement.
On lui avait volé son passé, était-ce sa qu’elle voulait…se souvenir ?

La saphir posa son regard sur la stèle, elle semblait l’attendre. Gravé de symbole étrange sûrement runique elle était en partie recouverte de mousse et de lichen. Les sphère et les volute dont était gravé son flanc descendait jusqu’au sol ou profondément marqué dans le pierre ce dessinait une sorte de pentacle.

Le regard de le dragonne se perdit dans le lointain, finalement es-que savoir lui apporterais quelque chose ? Es-qu’elle ne préférait pas vivre dans cette incertitude, dans ce passé imaginaire qu’elle s’était construis ? Et puis si on lui avait prit ses souvenirs ce n’était pas pour rien… elle était accusé d’avoir tuer et même si elle était sure qu’elle n’avait rien fait avait-elle raison ?
Aräkann frissonna. Mais Tyl’chark ?

La dragonne s’approcha de la ligne qui la séparait du champ d’action de la stèle.
« Je souhaite savoir pour qu’il ne soit pas mort en vain ! »

Aräkann franchi la ligne et senti la stèle prendre vie, étrangement elle semblait vivante…
Autour de la dragonne la forêt se tut, troublé par se silence soudain elle laissa l’inquiétude poindre en elle.
Mais elle avait fait son chois car déjà elle sentais que l’air se remplissait de magie…
Elle ferma les yeux et se sentir assaillir par les souvenir…

La dragonne regardait son œuf avec tristesse, taché de bleu il était noir, noir comme la nuit.
Song sang l’avait trahi, elle aurais voulue épargné a son unique œuf le sort qu’elle avait subit mais elle avait échoué, son enfant naîtrait sous le signe des sombres…
La grande dragonne pleurait son désespoir et les larme quelle déversait se mêlait au sang qu’elle versait.
Elle avait faillit et elle le savait, elle avait tenté de se sauvé mais elle n’avait réussis qu’a semé de chaos dans sont cœur, elle avait tenté d’échappé a son destin et avait échouer…
La dragonne laissa échappé un crie de douleur quand l’immense dragon noir lui lacéras l’épaule. Elle était déjà a terre ! Un rire diabolique se fit entendre puis des exclamation de joie tendit que l’homme ramassait l’œuf au grand desespoir de la mère.
Mais il n’eu pas le temps de le mettre dans sa sacoche, car déjà son compagnon s’écroulait sous la masse d’un dragon au écaille d’émeraude…

Aräkann s’écroula, elle perdait pied dans ses flot d’image déchaîné, sont esprit peinait a resté consciente. Autour d’elle tout vacillait. Couché sur le sol le souffle coup, elle percevait a peine les hombre qui ce faufilait vers la stèle. Elle s’affola quand elle senti les aura humaine, elles n’avait rien de sympathique, mais prisonnière de sont état second elle sombra dans le chaos de sons esprit. Impuissante et incapable d’appeler au secours…

Nirante…

"Tu…Tu.. est un démon ! Re…Retourne en enfer !"

Il n’avait pas tort mais elle ne se lança pas dans un long débat, se contenta d’arraché la tête au bipède, sans qu’une seul once d’un sentiment quelconque ne la trouble.

Plus qu’un…

La dragonne redressa la tête et posa son regard sur le tout jeune homme qui c’était blottit tremblant entre les racines d’un grand chêne, contemplent avec horreur les cadavres de ces compagnons.

Aräkann le dévisagea, l’immense disque bleu, sans iris, sans vie le fixait d’un air malsain.
Il n’avait rien fait mais elle allait le tué sans scrupule et comme les autres, il abreuverait de sont sang la mère terre.
Oui elle était une sorte de démon et cela ne la dérangeai pas, après tout sa mère avant elle l’avait été, ainsi que tout ses ancêtres qui avait propagé le douleur et la haine autour d’eux.
Elle n’aurais jamais due demandé à savoir, elle n’aurais jamais due mais maintenant il était trop tard. Etrangement le fait que la pierre lui est rappelé son passé ne l’avait pas fait souffrir au contraire elle l’avait soulagée mais d’un autre côté elle avait révélé son côté mauvais…
Le jeune homme la regardait s’approché recroquevillé sur lui même, il avait peur.
Elle se planta devant lui croisa sont regard et d’un geste brusque lui ôta la vie. Elle releva la tête le cadavre entre les crocs la gueule ruisselante de bave et de sang.

Elle avait fini…

La dépouille tomba au sol, l’auras noire que dégageait le corps de la saphir s’estompa pour disparaître totalement. Pourquoi combattre le destin quand il était si simple de le suivre, tué était si…agréable. Aräkann en voulait encore mais elle c’était absenté trop longtemps et devait rentrée « chez elle ».

Nirante…

C’était pour elle qu’elle retournait la-bas, la seule personne qui contait encore a ses yeux était la dame, pour qui elle éprouvait toujours cet étrange sentiment sur le quelle elle ne parvenait pas à mettre un nom. Mais elle ne pouvait pas se présenté a l'orbescence ainsi… La saphir se décida, il y avait une rivière sur le chemin du retour, elle y passerai.

Aräkann décolla abandonnant les reste de son carnage prés de la stèle, a la grand joie des charognard.