incognito...

(Suite de : champ désert en bordure de Féeris)

Un vieux chapeau de paille sale calé sur la tête, habillé avec les vêtements qu’il venait tout juste de chiper à ce paysan, Roag était parvenu sans difficulté à franchir les portes de Féeris. Au départ, il s’était dit qu’il se contenterait seulement d’assommer le cultivateur, mais le vieux bonhomme avait tenté de résister. Déformation professionnelle, pour éviter d’attirer l’attention sur lui, Roag lui avait tranché la gorge.

«Oups…», c’était-il dit.

Il avait caché le corps et baissé un peu son foulard noir pour ne pas attirer les regards inquisiteurs de soldats qui observaient la foule comme des chiens de gardes. Incognito, il s’était mêlé aux autres marchands, voyageurs et autres gens qui entraient dans Féeris, et sans problème, il entra dans la ville. Aussitôt, il abandonna la charrette au beau milieu de la place et rapidement, se fondit dans les ruelles sombres avoisinantes, encore sombres malgré les rayons de soleil qui éclairaient les allées de la cité.

Sans perdre de temps, Roag alla chercher ses effets dont qu’il désirait emporter. Où? Il l’ignorait, et cela n’avait pas d’importance. Il ne doutait pas que cette aventure risquait d’être fort intéressante en compagnie de ces dragons et guerriers. Il retourna donc dans quelques-unes de ces demeures, éparpillées un peu partout dans cette ville qu’il connaissait comme sa poche. Il était rare qu’il dorme deux nuits de suite au même endroit; les risques étaient élevées, dans sa profession…

Donc, après sa brève tournée, il marchait nonchalamment dans les rues que certains trouillards (enfin, c’est ce qu’il pensait…) appelaient «mal fréquentées». Il faisait tranquillement son inventaire en comptant sur ses doigts.

«Bon aloreuh… J’ai mes flasques de poison, ma dague magique, des bâtons fumigènes (pratique pour s’enfuir, on ne sait jamais)… ma tente, une corde, une petite lanterne, de quoi manger… Ah oui! Aussi deux bourses pleines. Et euh, des pétards, ma pierre à aiguiser, un passe-partout, du papier, de l’encre, une longue-vue. Bon, je crois que j’ai tout. Je me demande si je n’emporte pas trop d’équipement… »

Il avait également prit le temps de bien cacher son or. Il avait amassé une belle fortune, et ne sachant pas quand il reviderait, il s’était assuré qu’à son retour, il la retrouverait à sa place originelle. Il était à présent vers les 10 heures du matin.

«Maintenent, le plus important.»

D’un pas décidé, Roag entra dans sa taverne préférée, comptant faire le plein d’alcool pour le voyage.

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L’humaine semblait danser entre les tables, servant les clients avec un grand sourire, accordent un regard aux jeunes gents, adressant un clin d’œil a certain habituer. Elle était belle, sa longue chevelure brune cascadait le long de ses épaules et virevoltait en même tant qu’elle avec une grande adresse. Elle déposa son plateau sur le comptoir et disparue dans la partie privée de la demeure pour réapparaître, quelques instant après, pour aidé le tavernier au comptoir.
« Alors ?» demanda celui-ci La jeune femme haussa les épaules.
« Rien… elle c’est un peu calmée et a entamé une visite approfondie de ta chambre… c’est bizarre on dirait qu’elle découvre le monde »
Ce fut au tour de l’homme de haussé les épaules.« Une folle je te dis une folle… »
« Non elle est plutôt intelligente, elle a très vite comprit comment ouvrir la porte que tu avais fermée a clef… »
Le tavernier lui lança un regard noir, la jeune femme le rassura d’un sourire.
« La première personne qui peut m’en débarrasser je la lui offre ! »
Le visage de l’humaine se tendit un peu alors qu’elle était occupée a chargé de nouveau des chopes sur son plateau.« Tu as tord, c’est une brave petite et puis elle au moins elle ne jouera pas les commère »
« Tu m’étonne ! » s’exclama l’homme, puis baissant d’un ton « Elle est muette c’est ça que tu veux me faire croire ? »
La jeune femme attrapa son plateau.
«Je présume, oui… Tien au fait, si j’en crois la gourmette qu’elle a autour du poignet elle s’appelle Narek» lança-t-elle en s’éloignent pour servire les clients.

Le tavernier la regarda un instant puis s’adressant à un de ses clients réguliers sur le ton de la rigolade.
« Hé ! Sa te dirait toi une p’tite elfe de dix-sept ballait pour chez toi ? Bon je te l’accorde elle est un peu sauvage mais si tu promets a ma femme d’en prendre soin j’te la laisse pour une bouché de pain… »
L’autre grommela quelque chose a propos de sa femme qui n’en voudrait pas, et un autre se proposa de lui en débarrassé en échange de la guenon que lui servait de conjoint.

Narek -qui n’était autre que Tak’rïn- quant à elle, se tenait là, sur le pas de la porte, observant avec curiosité les allés et venue des clients. Contrairement a ce qu’en avait déduit la femme du tavernier, les étranges symboles qui ornait la gourmette n’était pas le mot "Narek" , qui comme elle le supposait était le nom de la jeune elfe mais une suite de symbole magique privant la dragonne de tout espoir de retrouvé sa forme originelle ou tout autre forme avant d’avoir trouvé un moyen de détruire cette foutue gourmette.

Roag entra dans la chaleureuse taverne en ouvrant la porte toute grande.

-Holà, mon ami!, lança-t-il joyeusement au tavernier. Sers-moi donc une de tes meilleures bières, comme toi seul sait en en verser! Dépêche-toi donc, je meurs de soi! (euh, dans une chope propre, s’il te plait.)

Il s’installa confortablement à une table. Il remarqua alors la femme aux côté du patron.

-Oh, mes salutations, chère Nylianne! Tu es ravissante, ce matin!

L’assassin pouffa de rire en songeant qu’il était assez inhabituel qu’il entre dans cet établissement qu’il connaissait bien accoutré ainsi, et si tôt dans la journée. Roag avait en effet l’habitude de venir boire un coup rarement avant minuit. Il prit confortablement ses aises tandis que certains le regardaient sourcil levé.

Le tavernier fut heureux de revoir Roag,mais pas en raison de amicale...

-Mon cher roag! Comment vont les affaires? Tu reviens enfin me payer la casse de cette bagarre du mois dernier? Ne fait pas cette mine je te propose un bon marché

Puis il sravanca vers l'assassin et murmura de telle façon que lui seul pouvait entendre

-Une elfe de dix-sept ans suqatte ma chambre...Pour moi elle est folle,alors si tu m'en débarasse,enfin si tu connaissait quelqu'un dans ton entourage qui cherche une fille a adoptée ou une servante....

Puis se souvenant de quel genre de personne avec qui il parlait

-Mais sans violence surtout!

-Hum... Intéressant... , marmona l'assassin en hochant la tête. Puis, il continua en pouffant de rire: Moi, une Elfe de 17 ans qui squatte ma chambre, ça ne me déplairait pas!

Roag réfléchit un peu plus sérieusement. Évidemment, avec l'or qu'il trimballait sur lui, il avait de quoi payer dix fois payer ce que l'aubergiste demandait pour dédomager cette foutue bagarre. Et puis, ce n'était même pas lui qui avait commencé! Enfin, pas complètement. Mais bon, Roag n'était pas sûr que l'homme donnerait beaucoup d'importance à ce fait. De toute façon, l'assassin était plutôt avare, et ne pas payer lui faisait plaisir.

-En fait, je connais une autre Elfe. Peut-être qu'elle pourrait l'aider? En tout cas, moi, elle m'interresse... On ne sait jamais, elle pourrait être utile.

Comme de raison, Roag n'avait pas l'âme sensible que voir des marchés d'esclaves répugnait. Et, s'il pouvait aider son ami tavernier, peut-être que la prochaine fois, il lui offrirait une tournée gratuite?

Le tavernie ésquissa un large sourire avant de chuchoter

-Merci mon ami! Merci!

Puis il se mit a crier en direction de sa femme

-Hé Moumoune! vient voir un peu par ici!

HRP//voila je vous laisse oragniser la suite (merci malaré pour m'avoir permit de jouer le tavernier xD)

L’humaine déposa son plateau sur le comptoir et s’approcha d’un pas nonchalant.
« Qui-as-t-il ? »
Le tavernier la regarda visiblement amusé.
« Ce monsieur se propose de la prendre » dit-il en désignent du menton le gamine qui les regardait avec une certaine méfiance.
« Je ne suis pas sure que… » commença l’humaine après un regard sur l’assassin.
Le tavernier lui attrapa les épaule, la rassurant d’un regard.
« ne t’inquiète pas, elle se débrouillera très bien et puis il a une elfe dans ses connaissance tu sais… »
« Dans ce cas… » murmura la jeune femme résigner.
Elle fit demi-tour, s’approcha de Tak’rin et l’attrapas par la main, lui expliquant ce qui se passait, elle l’entraîna derrière elle.
La dragonne se laissa faire, elle avait confiance en la femme, mais quand elle lui expliqua qu’elle devait suivre l’un des clients elle eut un sourire forcé.
Si l’humaine respirait la gentillesse, l’homme, lui, sentait plutôt la mort…

« Je vous présente Narek »

Narek ? Qui étai-ce ? Tak’rïn fronça les sourcils un instant avant de comprendre que c’était d’elle qu’il s’agissait. Narek…c’était bizarre comme nom mais finalement ce n’était pas plus mal.
Le métamorphe repoussa une mèche de cheveux noire qui lui était tombé devant les yeux sans quitté l’homme du regard, il ne lui inspirait pas vraiment confiance mais a vrais dire personne ne lui inspirait plus vraiment confiance mais s’il fallait le suivre pourquoi pas, du moment qu’elle ne recroisait pas les hommes de la ruelle tout allait bien.

Content de lui-mê,e Roag oberva l'Efle, amusé. Vraiment pas mal! Il avait été surprit que le tavernier (et surtout sa femme!") l'eut laissé partir avec la jeune fille... Sans gène, l'assassin la dévisaga lentement de la tête aux pieds, la tête légèrement incliné. Hum... Plutôt...Non, franchement jolie! elle ressemblait un peu à Estarah, qui devait l'attendre avec les autres hors de la ville: légère, svelte, visage fin, peau lisse, cheveux noirs... Mais ses yeux dorée luisant lui firent un drôla d'effet. Comme si cette jeune demoiselle n'était pas tout à fait... humeine. Drôle à dire, puisqu'elle était une Elfe.
Mais il y avait aussi autre chose. Roag était habitué à oberver les gens, à s'attarder sur leurs gestes, leur manière d'être. Celle que ces gens lui avait présenté sous le nom de Narek ne ressembait pas à n'importe quelle autre personne qu'il avait vu jusqu'à présent.
Il y avait quelque chose dans son allure de primitif, de sauvage. Comme c'était étrange. Il voyait bien qu'elle n'était pas enchanté de le suivre; comme n'importe qui de sensé, d'ailleurs! Outre tout ça, elle semblait fuir quelque chose. Roag savait bien reconnaître ce signe. Mais elle semblait docile comme tout. Il ricana intérieurement. Il lui dit, d'un air calme et sympatique, mais aussi un peu hypocrite:

-Bonjour, superbe demoiselle. Je suis Roag.

Il était conscient que ce nom ne lui dirait sans doute rien, elle ne semblait pas bien connaître la ville. son intuition était fort développé... Il lui prit la main, et déposa un baiser courtois, malgré son foulard toujours en place. Sans attendre de réponse, il enchaîna.

-Cela m'enchante de faire route en votre compagnie. Comme cela, on dit que vous êtes folle?

Tak’rïn entrouvrit les lèvres pour dire quelque chose mais évidemment rien n’en sortit et même si l’homme-de-l’arbre lui avait dit qu’avec le temps elle parviendrait peu être a parlé de la même manière qu'un humain, pour l’instant elle en était parfaitement incapable.
Mais quand Roag lui baissa la main elle ne put réprimandé un grondement sourd, une plainte interloqué étrangement douce, un avertissement qui cher les dragons de son clan prévenait d’un mécontentement irrité, mais l’assassin n’appartenait pas au clans de la lune, la plainte était donc incompréhensible a ses oreille. Elle dégagea gentillesse sa main de celle de l’hommes, très prudemment, prenant garde à ne pas le vexé.
Non elle n’était pas folle au contraire elle était sûrement beaucoup plus sage que lui, après tout n’était elle pas un dragon ?
Elle plongea ses yeux dans ceux de Roag fessant taire cette stupide idée de folie, car dans les yeux doré de l’elfe il n’y avait rien de comparable a la folie, au contraire…

Elle ne voulait pas subir un interrogatoire aussi saisi t’elle l’assassin par la main en l’entraînant dans les rues, elle ne savait pas trop ou elle allait de toute façon la ville était traversé par assez de grande rue pour qu’ils en croise une… c’était plutôt logique.
L’assassin dut comprendre ses intention car bientôt ce n’était pas elle qui l’entraînait mais plutôt lui qui lui fessait visitée les ruelles, au grand désespoir de la jeune femme qui aurais bien voulues abrégé son supplice et sortir de la ville au plus vite elle se voyais mal devoir renouvelé l’expérience des hommes de la ruelle…
Elle regardait autour d’elle de plus en plus souvent, jetant des regard suspicieux au ruelle trop sombre a son goût s’attendant a chaque croisement a un tête à tête fâcheux.
Mais rien de tout ce quelle redoutait n’arrivât, ils débouchèrent bientôt tout d’eux dans une rue commerçante.
Takarïn se détendis un peu et passa sa main libre dans ses cheveux repoussant ainsi les mèches indisciplinée qui lui retombait devant les yeux.

L’homme connaissait bien la ville, sur ce coup elle avait eu de la chance, mais maintenant qu’ils étaient au milieux de la foules il avait ralenti le rythme et semblait flânée d’étale en étale. La dragonne s’assura que son sac ne craignait rien, étrangement depuis que le tavernier lui avait confisqué l’arme que lui avait confier l’homme-de-l’arbre elle se sentait vraiment une proie facile… Instinctivement elle se serra contre Roag, même si il ne lui plaisait pas elle préférait être a ses côté plutôt qu’avoir a affronté le hommes de la ruelle.

En marchant tranquillement entre les petits commerces, Roag était détendu. En fait, étrangement, il n’était pas nécessairement pressé de sortir de Féeris. Dès qu’il rejoindrait les autres, ils prendraient cette curieuse Elfe sous leurs ailes, et il ne pourrait plus rigoler. Comme maintenant; alors qu’il finissait de marchander une nouvelle gourde pleine de ce délicieux antipoison (ses réserves rapetissaient), il sentit la jeune fille se presser doucement contre lui, comme pour se rassurer.

« Humm… », pensa l’assassin sentant le corps chaud de la fille, en humant l’étrange parfum qui se dégageait d’elle. Ce n’était pas une odeur ordinaire. Il connaissait bien la senteur des femmes, et celle-ci était particulière.
«Sans doute parce quelle est une Elfe. Je me demande si Estarah a la même… Mais je ne croit pas que Maxas apprécierait!»

Malgré cela, l’assassin avait vu que la dénommée Narek ne l’avait pas particulièrement apprécié, à l’auberge. Cela ne le contraria pas, bien au contraire! Il aimait les défits. De toute façon, elle était à lui à présent, en quelque sorte. Mais il avait bien vu qu’elle n’était folle. Loin de là. Elle avait même l’air de comprendre à peu près tout ce qu’on lui disait! Seulement, elle ne pouvait pas parler. Peut-être était-elle muette? C’était bien possible, mais Roag avait le pressentiment que ce n’était pas ça. Bon, on verrait bien, s’était-il dit.

Ils marchèrent encore un peu avant d’arriver en vue des portes de la ville. Là, il vit quelque chose qui détourna ses pensées quelques fois…malhonnêtes... de Narek.
À travers la foule habituelle qui jonchait la place, ils entraperçurent plusieurs soldats de la ville qui surveillaient l’ouverture. Roag fronça les sourcils en remettant son chapeau de paysan en place.

-Ils sont plus que d’habitude, pourquoi?, marmonna-t-il de façon grincheuse pour masquer son inquiétude.

Ils s’approchaient des portes, ce qui rassura la dragonne mais par pour longtemps…
Elle sentit son compagnon changé d’attitude, il était plus tendu, bizarre.
Cherchant la cause de ce changement de comportement elle lança son regard au-dessus de l’épaule de l’homme, elle avait beau se sentir en danger, sa curiosité n’en soufrait pas le moins du monde.
Mais ce quelle rencontra calma un peu ses ardeurs… Elle nota d’abord qu’il y avait plus de solda à l’entrée que d’habitude cela l’importait peu, mais elle nota tout de même se détaille car il semblait être la cause du changement d’attitude de son guide, bien qu’elle n’en soit pas certaine. Elle promenas son regard de visage en visage et soudainement se tendis, complètement paniqué. Il y avait là, sur leur gauche, un groupe d’homme dont elle ne connaissait que trop bien les regards mauvais…Elle connaissait deux d’entre eux mais ce doutait bien qu’elle ne tarderait pas à faire connaissance avec les autres si ils traînaient trop a l’intérieur de la citée.
Elle espéra un instant ne pas se faire repérer et d’avoir le temps de passé les portes, mais sa prière ne fut apparemment pas exaucée. L’un des hommes fit un signe dans leur direction, l’aire de rien, mais Tak’rïn n’était pas naïve elle avait bien vu l’éclat morbide de l’acier dont était constitué leurs armes.
Elle planta son regard sur le dos de Roag, tentas pour la dixième foi aujourd’hui de reprendre sa forme première, elle senti un léger picotement le long de ses deux omoplate mais rien d’autre ne se produisis, la dragonne ne put jeté qu’ un regard plein de rancœur a la gourmette qui la bloquait sous cette forme impure d’elfe.
Et dire qu’elle n’avait rien pour se défendre ! La jeune femme dut se résoudre a prévenir l’autre, d’une manière ou d’une autre…Sans se révéler…
Un petit sourire réussi à apparaître sur les lèvres de l’elfe, elle savait ce qu’elle allait faire.
La jeune femme ferma les yeux, aussitôt elle sentit les esprits des personne l’entourant, a sa grande satisfaction elle n’avait pas perdue se pouvoir là ! Elle effleura l’esprit de l’assassin avec le plus de délicatesse qu’elle put, lui communiquant ainsi ce sentiment de danger imminent qui la submergeait, elle quitta l’esprit de l’homme et reprit pied avec la réalité un peu plus brutalement qu’elle ne l’aurait souhaitait étourdie un instant par le bruit ambiant. Si elle avait bien travaillé, l’homme interpréterait la sensation comme uns mise en garde de son propre instinct, de toute manière il n’avait aucun moyen de s’assuré que c’était elle qui avait agit, a moins bien sur d’être un dragon rompu a l’art de communiqué se dont elle doutait plus que fortement..
Pour achevé sont œuvre elle agrippa le vêtement de l’homme, l’obligent à se retournée, elle croisa sont regard et lui désigna discrètement les trois hommes qui se frayait un passage dans leurs direction, maintenant il avait normalement toute les carte en main, elle, n’ayant pas d’arme véritable contre leurs assaillants.

Une sorte de mise en garde, un avertissement. C’est ce qui lui était venu à l’esprit, dominant étrangement toutes pensées, juste avant que Narek ne lui fasse signe des autres hommes qui les regardaient d’un air pas commode. Mais l’assassin avait l’impression que cette sensation ne lui était pas inconnue. Où, quand? Il ne s’en souvenait pas. De toute façon, ce n’était pas le moment de se questionner; ils venaient vers eux.

« Brrrr... Des vraies brutes, ceux-là. », Pensa-t-il en examinant leur carrure plus qu’impressionnante. Il se souvenait de les avoir déjà croisé une ou deux fois dans les petites allées sombres de la ville. Ils semblaient leur en vouloir… Pourquoi? Roag réfléchit vite. Si ce n’était pas pour lui, était-ce pour la jeune Elfe?

Roag inclina la tête par en arrière, dans ses réflexions, et leva un sourcil en la dévisageant.

Voyons, comment une pareille jolie jeune fille aurait pu se mettre ces colosses à dos? Elle était un peu étrange, certes, mais ne paraissait pas dangereuse. Elle avait semblé effrayée quand ils étaient passés dans les ruelles de Féeris. Ah, peut-être qu’elle les fuyait?

« On réglera ça plus tard. Il faut sortir.»

-Bon, euh, je te prête ça, ça peut servir, dit-il rapidement à la jeune fille en lui tendant une longue dague luisante. Je te conseillerais de sortir vite pendant que je les retiens. …Oh, et… Essaie de ne pas attirer l’attention.

Voyant que les hommes les avaient presque rejoints, Roag s’interposa entre Narek et la bande de colosses, et leur lança, en se frottant les mains :

-Bon matin, messieurs! Vous cherchez quelque chose, on dirait. On s’connaît? Je peux vous être utile?

La jeune femme lança un regard plein de gratitude a l’assassin alors qu’elle tentait de se mêlé à la foule sortant de la citée. On lui saisit le poignet, elle se retourna, tomba nez a nez avec une brute édenté qu’elle ne connaissait pas mais qui visiblement ne lui voulait pas du bien.
« Te voilà enfin toi ! On pourra dire que tu nous as fait courir ! »

Le regard de la dragonne s’assombrit, elle émit un grognement rauque, visiblement elle était très contrarier. L’homme se mit a arrive et lui tordant le poignet commença a l’éloigner et de la porte et de Roag qui lui faisait gagner du temps barrent la routes aux autres hommes et engagent la discution.
La colère se lu soudain dans les yeux de l’elfe, elle récupéra la lame qu’elle venait de glisse sous sa cape et là planta dans le dos de l’homme qui sans un bruit s’écroula au sol lâchant son poignet.
Dommage pour la discrétion, mais de toute façon c’était inévitable, avec la foule les gardes ne verrais pas tout de suite le cadavre. La dague disparut de nouveau sous la cape et la jeune femme se mêla au passant quand soudainement elle réalisa qu’elle oubliait quelqu’un…Roag.
Tak’rïn risqua un regard en arrière l’aperçu un instant l’assassin il tenait le coup mais pour combien de temps encore ?

HRP: la couleur cert n'est pas pour un des hommes en particulier.

-Bon matin, messieurs! Vous cherchez quelque chose, on dirait. On s’connaît? Je peux vous être utile?

-Ouais, on cherche ta copine!, répondit brusquement le plus grand gaillard en le bousculant.

-Qui vous dit que c'est ma copine?

-Dégage de mon chemin, avorton!

L'homme devenait impatient. Il le dépassa et chercha du regard l'Elfe fugitive.

-Alors tans pis pour vous..., fit Roag innocemment en faisant mine de s'en aller en direction de la ville.

-Pourquoi tu dis ça?, demanda sèchement un des colosses en se retournant vers lui.

-Eh bien parce que je vous garantis qu’elle réussira à s’enfuir.

L’homme fit un sourire mauvais

-Ah, tu crois ça?

-Oui, parce que je vais l’aider.

-Et c’est pour nous raconter ça que tu nous a fait perdre notre temps?, rugit-il en menaçant Roag, toujours calme.

-Certes non, fit-il en s’examinant les ongles. Voyez-vous, cette jolie personne m’a été confié par quelqu’un qui souhaitait s’en débarrasser, pour être franc.

-Tu n’es pas son ami?

Roag leva la tête vers eux. Ses yeux se plissèrent avec un air menaçant.

-Je n’aime pas arrêter mes pensées sur un opinion précise, vous voyez. ... On pourrais conclure un entente honnête, qu’en dites-vous?

Les grands hommes devinrent soudain plus intéressés. Maîtrisant la situation, il continua lentement.

- La fille me fait confiance. J’aimerais que vous m’aidiez à sortir de Féeris. Sans que les gardes me reconnaissent.

L’un deux s’exclama;

-Ah, je sais qui tu es! Tu es l’assassin qui s’est enfuit! Et tu nous livre la fille si on te fais sortir?

-Oh non! Même seul, j’arriverais à sortir! Avec un peu plus de peine, mais tout-de-même. Non: Vous me faites sortir, je vous livre la fille, et vous me donnez... 400 pièces d’or.

-Sale pourriture..., grogna l’autre. Tu ne t’imagines pas que nous allons marcher!

-Vous ne me croyez pas? Je vous conseille de retourner voir votre autre compagnon, qui tentait d’éloigner la fille, par là. Mais vous ne le verrez pas, il est mort, par terre.

Les hommes se tournèrent vers l’endroit où se trouvaient quelques secondes plus tôt, Narek et la brute qu’elle venait de terrasser. En effet, ils cherchèrent leur ami, mais ne virent rien. Elle s’était déjà fondit dans la foule.

-L’Elfe n’avait pas d’arme, mentit l’assassin. C’est moi qui l’a tué. Et vous n’avez rien remarqué. Convaincus?

-Comment compter sur ta parole?

Roag haussa les épaules.

-Un assassin ment rarement à son employeur, s’il veut voir la couleur de son or.

Celui qui semblait être le chef du groupe hésita quelques secondes. À contrecoeur, il finit par dire:

-D’accord, mais pour 200 pièces d’or.

-Ha, ha, ha! À la valeur qu’a cette Elfe, je ne baisserais jamais en dessous de 350!

-Tu connais la valeur de cette fille?, dit l’autre en levant le sourcil.

-Peut-être plus que vous pensez... murmura-il en mentant une nouvelle fois.

-300. Nous te feront sortir tout de suite, et sans problème.

-Ça marche.

«Hum..., pensa Roag. Peut-être que cette charmante fille a plus d’intérêt que je le pensait... »

L’elfe reprit son souffle, non pas parce quelle avait couru mais plutôt à cause de ce stupide réflexe qui l’avait empêché de respiré tant qu’elle était prés des gardes.
La jeune femme se passa les mains sur le visage en s’adossant à une stèle un peu plus loin sur la route menant à la ville.
Tak’rïn ne put s’empêcher de profité de ce répit pour tenter de reprendre sa forme originelle, elle sentit les étincelle de magie affluer en elle, effleuré sa peau, parcourir son corps mais rien d’autre. La dragonne émit un long soupir tout en se laissant glissé sur le sol.
Après avoir jeté un regard sur les deux colonnes faisant office de porte elle jugea le danger passé et posa la longue dague sur le sol, a porté de main, on ne savait jamais…

Il lui fallait trouver un moyen de se débarrassé de la gourmette au plus vite, mais elle ne voyait pas comment, même une cisaille n’y parvenait pas. Si elle avait été dragon un simple coup de dent sauvait peut être sufi, quoi que, l’objet était tellement imprégné de magie qu’elle commençait a en douté.
Elle replia ses genoux sous son menton et entre prit d’étudier les symboles gravés sur la gourmette, il était vrais qu’ils constituaient le mot « Narek » écrit d’un manière un peu bizarre mais tout a fait lisible. En y regardent de plus prés elle réussit à différencier les différents signes composent le mot :
Le « N » était composé d’I dont la barre centrale était décorée d’une frise entrelacé puis d’un V incliné sur la gauche.
Le « a » lui était l’union d’un c et d’un i minuscule avec en sont centre un ° que l’on retrouvait dans les deux lettres suivantes.
Le « r » : un i minuscule et un demi cercle tourné vers le bas avec pour centre un ° .
Le « e » quand a lui, était sans doute le plus bizarre et le moins lisible, constituer d’un demi-rectangle [ et du même symbole circulaire de ses deux prédécesseurs.
Et pour finir, se « k », qu’un y renversé et une apostrophe formait.

Tak’rïn resta un instant pensive face a cette enchevêtrement, cherchant a connaître son origine hélasse elle ne reconnaissait aucun de ses symboles ou de ses lettres…

Bien dissimulé derrière un convois des hommes avec qui il avait fait affaire, Roag quitta la ville sans anicroche, comme ils lui avait dit. Il avait retenu son souffle, et préparé sa dague de Drow quand les gardes avaient rapidement examiné la petite brouette dans laquelle il s'était caché. Heureusement, un autre grand bonhomme du groupe avait attiré l'attention de la sentinelle avant qu'il n'apperçoive l'assassin. À présent, ils étaient sur la route, à quelques dizaines de mètres des grandes portes et de l'activité bourbonnante de Féeris. Roag sortit en s'étrant les memblres engourdis. Mais le chef du groupe, impatient, lui demanda aussitôt:

-Alors, notre affaire? Nous allons la chercher avec toi, ça fera plus sûr.

-Imbécile. Si elle vous voit, elle se doutera de quelque chose! Non, allez vous cacher là, et...

-Toi, vermine, ne m'insulte pas!

-Oh, et toi pas plus, raclure! Si tu pouvais fermer ta puante gueule et arrêter de ratonter des âneries, vous pourriez me laisser...

L'homme l'interrompit et dégaina son épée.

-Toi, ne va pas trop loin...

Roag haussa les épaules. Il regarda autour de lui. Hum... Il ne voyait pas Narek. elle était probablement trop loin.

-Puis-je voir mon or, pour m'assurer de votre honorable parole?, décida-t-il subitement. Juste regarder.

-C'est ça! Après, tu me tranchera la gorge pour fuir avec!

-Mais non, vous êtes trop nombreux, et vous m'encerlez!

-En effet..., dit l'homme avec un sourire mauvais. il s'avença vers lui. Comme ses compagnons qui se refermaient en cercle autour d'eux. Roag n'aimait pas ça.

-Tu sais quoi? Je n'aime pas faire affaire avec des assassins.

-Vous n'aviez pas du tout l'intention de me donner 300 pièces d'or, n'est-ce pas? Aussitôt que vous auriez eu la fille, vous m'auriez éliminé, dit-il en comprenant.

-Tu comprend vite, mon ami.
Puis il se tourna vers les autres.
-Tuez-le. Finalement, on en a pas besion.

La dite Narek regarda une nouvelle fois les portes de la citée et aperçue enfin Roag.
Avec un soupir de soulagement elle se leva et s’apprêta à sortir de derrière son rocher, attendent sagement qu’il se sépare des hommes qui l’accompagnait.
Mais il ne semblait pas pressé…

Tak’rïn émis un grondement exaspéré, plus elle était loin de la ville mieux elle se portait…Tant qu’as faire d’être loin elle aurait même bien voulu être auprès de sien, dans la forêt du monde de la dragonologie.
Soudainement les hommes encerclèrent l’assassin, leur regard mauvais firent frémire la jeune femme qui réalisa enfin a qui elle avait à faire. Mais comment n’avait t-elle put penser qu’il s’en était défait facilement !

Si elle se montrait, elle y aurait droit mais d’un autre côté il semblait être suffisamment mal engagé pour avoir besoin d’aide. Après tout, il l’avait aidé.

L’elfe récupéra son sac et la dague que lui avait prêté l’homme et profitant que les hommes était occupé par Roag fit en courant la distance qui la séparait du groupe.
Les bandits étaient tellement préoccupés par l’assassin qu’ils ne virent même pas la jeune femme se glissé dans l’ombre du plus grand.

-Tuez-le. Finalement, on en à pas besoin.

Tak’rïn fronça les sourcils, visiblement très contrarier, s’ils le tuaient, elle n’aurait plus de guide !
Sans réfléchir, elle prit la dague a deux mains et la planta dans le dos du colosse qui avait parlé et qui semblait être leur chef. A la grande surprise de la jeune femme il ne fit pas comme le premier, il émis un son tout à fait écœurant en recrachant son sang, la dragonne le regarda s’écroulé avec tout le dégoût dont elle était capable, laissant le malheureux se noyer dans son sang.
L’elfe releva les yeux vers Roag qui semblait surprit de la voir là, est ne put s’empêcher de lui sourire avant de réalisé qu’elle était repéré et que tout les regards était tournée vers elle.
Sont sourire disparut, elle raffermi sa prise sur la dague et se lança a l’assaut du bandit le plus proche profitant d’un effet de surprise malheureusement très cour.
L’homme revint a lui, esquiva la lame avec une facilité déconcertante, ce qui d’une certaine manière était normal, après tout Tak’rïn maniait la dague d’une manière pataude, déconcertante même se fiant visiblement plus a son intuition qu’au rare cour de maniement d’arme qu’elle avait reçue de l’homme-de-l’arbre.
Ce fut donc sans grande surprise qu’elle se vit désarmé au bout de quelques échange.
Instinctivement elle chercha a reprendre sa forme originel mais sans résulta, s’en devenait frustrant.
Roag de son côté semblait très afféré, a en croire les bruits d’acier qui résonnait au oreille de la jeune femme.

Tak’rïn se sentit soudainement soulevé du sol par une paire de bras qui lui agrippait les épaules. La dragonne poussa un cris, furieuse mais se tut sentent l’aire lui manqué, la brute tentait de l’étouffé ! Elle se débattit un instant, ne pouvant retenir des plaintes sourdes quand l’humain resserrait sont étreinte.
Si elle avait été Dragon cela faisait longtemps qu’elle l’aurait tuer.
La jeune femme ferma les yeux, sentant le monde vacillé autour d’elle, l’aire lui manquait.
Elle entendait le sang battre dans ses tempes, aucun autre bruit ne lui parvenait plus.

En effet, Roag était en plein duel avec un autre grand bonhomme. Il était totalement chauve, mais affichait une barbe noire fournie. Il maniait la hache avec une grande force, et chacun de ses coups lui faisait presque échapper son épée qu'il avait chipé au Drow mort. Bien que l'assassin était très rapide et précit au combat, il n'arrivait pas à prendre le dessus.

-Crève donc!, hurla son assaillant en prenant un nouvel élan.

Un autre s'approchait pour prêter main-forte à son camarade. Malheureusement, ici, on était pas dans la ville, où il aurait pu s'échapper facilement par les ruelles ou les toits, on était dans les Plaines. Pas moyen d'y échapper. Tout à coup, il ramarqua les difficultées qu'avait la petite Elfe. Roag réfléchit un court instant, tout en parant et esquivant les coups de hache, et décida de tenter autre chose.

De sa main libre, alla chercher dans la doublure de sa cape, une sorte petit bâton cylindrique rouge. Il ft quelques pas en arrière pour se dégager quelques secondes.

-Ah, tu abandonnes?, demanda victorieux son adversaire.

Roag eut un demi-sourire. Non, il n'allait pas abandonner aussi vite. Il n'était pas un des meilleurs assassin de Féeris pour rien! Avec les quelques secondes de répit qu'il s'était donné, il sortit aussi un briquet avec quoi il alluma le bâton. Aussitôt, une épaisse fumée nauséabonde de dégagea. Il le lança de toutes ses forces en plein millieu de la pagaille, et un brouillard opaque les enveloppa. Les brigands se mirent à tousser, et ne voyant plus rien, arrêtèrent de se battre. Roag eut juste le temps de voir l'homme qui étouffait Narek la lâcher, paniqué. Il devina qu'elle tomba par terre. Protégé par son foulard noir, Roag avança à l'aveuglette parmi les hommes qui se demandaient ce qui se passait. Une dizaine de secondes plus tard, il retrouva enfin l'Elfe, la prit dans ses bras, la souleva, et partit le plus rapidement qu'il pouvait hors du nuage de fumée. Il n'allait pas vite; ce n'était pas Narek qui était loudre, c'était plutôt lui qui manquait de force...

La jeune femme ne mit pas longtemps a émergé de nouveau, la fumé qui entourait la bande de malfrat ne s’était pas encore dissipée.
Elle rouvrit les yeux pour apercevoir le ciel, bercé par le pas cadencé de son…sauveur ? Elle agrippa la nuque de l’assassin reprenant soudainement ses esprits, secoua la tête et une quinte de toux plus tard elle était de nouveau au sol. Instinctivement elle vérifia que sa gibecière était bien là pour finalement remercier l’assassin d’un petit sourire embarrassé, elle lui devait probablement la vie elle ne l’oublierait pas. Mais ils n’avaient pas le temps de soufflé le fumigène n’était pas éternel et déjà aux éclat de voie que l’on entendait plus loin on pouvait supposer que les hommes ne tarderaient pas à les prendre en chasse a min qu’ils ne parviennent à disparaître avant…
Narek puis que c’était dorénavant a ce nom qu’elle répondait, ce laissa entraîner par l’assassin sans savoir ou ils allaient.

[HRP : je te laisse posté l’intro dans le bosquet, je crois qu’il on besoin de nous (de toi en l’occurrence Razz

)]