sauver

suite des falaisses du royaume dragonnique

Le silence se fit soudain. Au bout d’un moment elle rouvrit un œil se demandent pourquoi elle n’était pas morte. Face à elle une immense forêt d’une beauté époustouflante,le paysage qui lui avais servi d'appuie était la en fasse d’elle . Elle cligna des yeux plusieurs fois pour s’assurer qu’elle ne rêvait pas:
*Esse le Paradis ? j’était dans une forêt en pleine hiver je pence a un lieu et m'y voila!cette autre forêt et au printemps en plus ! je doit rêver… *
elle chercha du regard les loups qui la poursuivait Il n’y en avait aucune trace. Elle se détendis et repartie malgrer sont aille qui trainait sur le sol cherchant un lieu ou se mettre a l'abris.

Une bonne odeur de viande griller fit palpiter les narines de la dragonne.
Elle avais faim et serait prête a n’importe quoi pour manger.
Elle se leva péniblement car son aile lui faisait encore bien mal. Elle l’examina. Se n’était pas beau a voir, un bon tiers de l’épaule était arracher et sont aille gauche qui avait du saigner abondamment était désormais recouverte du croûte noirâtre.
Elle poussa un grognement :
* pourquoi me suis je laisser tenter par cette carcasse de biche alors que j’aurai put chasser moi même. Là au moins j’aurai été sur de la qualité… *
Elle fut interrompu dans ses réfection par un terrible gargouillement de son estomac.
_ Sa va ! Sa va ! J’ai compris.
Elle se mit en route suivant le délicieux fumait qui l’avais réveiller.

La dragonne s’avança vers la clairière d’ou venais cette délicieuse odeur de viande cuite.
Arriver a la lisière Aräkann stoppa il y avais un obstacle entre la viande et elle. Oui il y avait un humain tout du moins c’est se qu’elle pensait car jamais encore elle n’en avait vue mais la description collait : petit être aux oreilles étrange marchant sur deux pattes…
Oui il n’y avait plus de doute c’était un humain qui la regardait se demandent la direction a suivre.
Aräkann ne prit pas le temps de réfléchir et c’est d’un pas décider qu’elle se dirigea droit vers la viande.
Et la il se produit une chose extraordinaire un gigantesque dragon noire et tomber du ciel en un temps record un homme portent une grande pèlerine noire descendis et se posta devant la jeune dragonne. D’une voie cinglante il lui dit :
_suit moi immédiatement j’ai un service a te demander.
Aräkann fronça le nez signe d’intense réflexion chez elle.
_et… je puis savoir se que vous me voulez ?
l’homme se retourna regarda alternativement la dragonne puis l’autre homme qui se demandait se qu’il devait faire mais un sabre sorti de sont Foureau ne lui laissant pas le temps de finir sa réflexion il s’écroula mort.
Un sourire sur les lèvres il se tourna vers Aräkann .
_maintenant nous somme tranquille pour parler.
_oui et que me voulez vous ?
_toi.
_pardon ?
Aräkann ne comprenait pas et avait porter toute sont attention sur l’homme qui lui faisait face ne voilant pas l’immense dragon noire se poster de manière a lui couper toute retraite.
_cela fait un mois que je te traque sans relâche, j’ai provoquer ton départ du clan, j’ai provoquer la chute de pierre qui t’a fait te fâcher avec ton père et enfin j’ai empoisonner la viande que tu a manger. La seule chose que je n’avais pas prévu se sont les loup et le fait que tu résiste au somnifère et pourtant ils étaient très puisant…
La dragonne avait comprit elle se retourna prête a fuir dans les bois…

Mais le dragon fut plus rapide quelle d’un bon il fut sur elle.
Elle mordit griffa et se débâti au temps quelle le put mais rien n’y fit il la tenait non sans quelle que difficulté mais elle ne pouvais plus s’échapper.
L’homme s’approcha d’elle et prononças une formule. Petit a petit elle se senti très fatiguer et fini par s’endormir les dernier mot quelle parvins a saisir se fut un bref échange entre le dragon et l’homme :
_Elle a réagit plus vite que prévu.
_oui mais sa ne lui a servi a rien bon travail le maître sera content.
_C’est étrange elle ne ressemble pas au autre dragon de sa terre.
_c’est normal sa mère et une fille de la la nuit, regarde on vois encore une petite trace de la marque.
Il désigna quelque écaille sans forme préciser teinter d’un bleu plus sombre que les autres.
Le dragon hissa le corps inanimé sur sont dos et il parti en compagnie de sont maître.


suite dans le territoire de l'hombre