Arrivé...peux commune!

Suite du monde des dragon:desert

La dragonne semblait volé au ralenti…ses ailles battait un rythme lent, saccadé, elle c’était envolé mais se demandait comment elle avait fait…Un tas d’image il traversait la tête, elle n’avait pas envie de se posé, mais a envie de s’épuisé…

Aräkann ferma les yeux, fatigué, ses blessures étaient refermées mais elle soufrait encore…
Elle se concentra sur une des images qui lui passait par la tête…un champ, en bordure d’une forêt bien moins grande que celle de son monde…

Un changement de température violent frappas la dragonne saphir, les turbulences imprévue.
Elle avait l’impression qu’on venait de lui assoné un coup d’une puissance titanesque.
Aräkann rouvrit les yeux… ou était passé le dessert ou elle se trouvait, il y a quelque instant?
Soudainement affolé, elle regarda partout autour d’elle.
Un champ, une forêt…elle venait de passé dans un autre monde ! Elle grinça des crocs, elle était très douée pour passé d’un monde a l’autre sans s’en apercevoir…c’était la deuxième fois et elle se demandait bien ou elle pouvait être.

Mais cette fois-ci elle n’avait plus la force de continué à voler, le rythme déjà lent de ses battements d’aille se stoppa complètement elle descendit doucement pour finir en rase-mottes
Le seul fait qu’elle n’avait pas prévu c’était la ferme qui se trouvait sur son passage…
Dans l’incapacité de freiner, elle se voyait déjà complètement aplatit sous la muraille défoncer…
L’espace d’un instant elle détesta se monde au ferme fortifié ! Quelle idée stupide ! C’était le meilleur moyen qu’avaient trouvé les humains pour ce protéger ? Pathétique !

Le solide mur de pierre n’était plus qu’a quelque fraction de seconde…La saphire ferma de nouveau les yeux persuadés que sont heure était venue !
Quelque chose d’étrange se produit alors…elle rentra en contacta avec le sol et commença a freiner mais elle était encore trop rapide et rencontra le mur de pierre…Et elle le traversa comme s’il n’avait pas existé !
Surprise par le fait d’être toujours en vie elle rouvrit les yeux justes a temps pour voir le gamin droit devant elle, les yeux rivé dans les siens, mort de peur.
Elle vit le moment ou elle allait l’écraser mais heureusement elle n’avait plus suffisamment de vitesse et elle s’arrêta la tête posée sur le sol a quelques centimètres de sont visage.

Il y eu un instant de silence… Elle vit les larmes montées aux yeux du tout jeune garçon…
Le cri s’élevât brisant le silence avec une force tout à fait inattendue, l’humaine qui devait être la mère sortit de son immobilité et se précipita soulevant le gamin du sol et courant se mettre à l’abri tandis que les hommes de la ferme et de ses alentours arrivaient de tout les cotés.

Aräkann soupira de soulagement et ne réagi même pas quand on commença à l’attacher avec de solide corde… Elle comprenait les hommes…voir un dragon déboulé ainsi, sans prévenir et passé à travers une muraille qui était censé les protéger de leurs ennemis…Tout cela faisait beaucoup !

Elle fut rapidement entourée d’un brouhaha donc elle ne réussit qu’a décerner des mots de colère, de criante et de soulagement…avant de sombré dans le noir complet.

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Natir était un homme sage, quand le grand dragon fut solidement attaché, il fit chercher un harnachement a bestiaux et le passa autour de la gueule et de la tête de l’animal, il savait que les dragons crachaient du feu et préférait mettre autre chose que de corde a ce niveau…

Une fois la bête bien attachée, il se réunit ave ses trois frères et forma un conseil.
Sont plus jeune frère, Iran, commença le débat.« Bon, je vous propose de te tuez…ça nous fera de la viande et ont pourra même en vendre ! »
Tiram, le frère suivant de Natir, déclara:
« Tu n’es pas fou ! Un dragon est un animal a traité avec le plus grand respect, c’est un être doué de sentiment ! Et puis… A-tu déjà vue un bleu de cette taille ? Il fait quasiment la taille d’un bronze ! Il doit avoir de millier d’année ! Et puis tout les cicatrise qu’il a sur le corps ? C’est une preuve de puissance ! »
Natir haussa les sourcils :
« Si c’est une preuve de puissance comme tu dit…il et fort probable que se dragon soi le fléau de la région ! Nous avons peut être là la cause des dévastations de village mais se que je ne comprends pas c’est qu’il est put traverser la muraille sans une égratignure et sans l’abîmé de surcroît ! »
Ses deux frères restèrent dubitatif…ne sachent que faire.
Natir poursuivi :
« Je vous propose d’en parlé à dame Nirante ! Elle saura quoi faire ! Je dépêche sur le champs un messager pour qu’il se rende au château! »

Les trois frères se séparèrent et un jeune cavilier se dirigea vers le château.

Elle se débattait doucement depuis plus de deux heure déjà…
La calment était rapide mais face a un dragon de sa taille il n’était pas totalement efficace.
Aräkann écoutait le cliquetis des chaînes, sa queue serpentait sur le sol et frappait par moment mollement le mur. Elle se sentait bizarre…surtout que maintenant elle était dans le noir complet a cause du tissus que les humain lui avait accroché devant les yeux.
Elle n’avait pas envie de dormire, mais n’arrivait pas à s’enfuire, peut être pars que les corde avait été remplacé par des chaînes.

Les humains l’avait obligé a se couché sur le flanc et quand elle s’était débattu, quand elle était parvenue a ce relever…
Elle avait sentit une lame dansé le long sont épaule, sa l’avait rendue furieuse.
Elle avait battu furieusement des ailles(que les humain avait oublié d’attaché) mais il devait y avoir quelque chose sur la lame car au bout de quelque instant elle avait senti le sol se dérobé sous ses pattes et elle s’était écroulé.
Impuissante face au maudit bipède qui s’était empressé de la couché sur le flan. Ils avait fini de lui mettre des chaînes et lui avait mis le tissus, qui devait être un drap, sur les yeux pour quelle se tienne tranquille.

Maintenant elle était couché, le souffle haletant, elle avait peur terriblement peur, mais elle ne pouvait rien faire, son corps refusait de lui obéir alors elle se perdait dans une profonde torpeur, l’esprit flou elle restait inerte sur le sol, transpirant sous le soleil.
Elle haïssait les humain, elle haïssait les dragons qui avait tué T’ylchark d’ailleurs elle haïssait tout les dragon de cette terre ! tous saut Is’bet et sont fils ! heu seul méritait de vivre !

Une aura noire se dégagea de la dragonne, t’elle un feu il enveloppait sont corps ; elle les haïssait tous autant les un que les autres !Ils ne sauvaient que faire le mal autour d’eux... Des larme de colère lui montèrent au yeux. Elle aurais voulue se lever, tous les tuer ! Mais sont corps refusait de lui obéir !

Quelque homme s’approchèrent de la grande dragonne de qui a présent émanait des onde néfaste, plus aucun d’entre eux ne doutaient désormais de l’identité de l’animal mais il avait bien trop peur pour le tuer.

Elle se débattait toujours, mais sans ardeur, et sans y croire vraiment…Mais elle savait que quand elle reprendrait ses esprit, ils périraient tous !

Le petit groupe arriva bientôt en vue de la ferme.
Les hautes muraille de pierre blanche scintillait au soleil, tout semblait calme…

Ils entreprirent de faire le tour, et arrivèrent bientôt devant un vaste ligne d’environ un mètre de profondeur.
Le gamin montra l’endroit du champ ou elle commençait et dit au dragonnier.

« Il et arrivé par là et vouvoyez le tas de terre contre le mur ? Et bien c’est là qu’il la traversé.
Il est de l’autre côté ! »

Le dragon se posa devant les solides portes en bois non loin des cavaliers qui les attendaient déjà. Quand il entrèrent dans la ferme le gamin les conduisit dans l’arrière cour ou il tombèrent nez a nez avec un immense dragon bleu solidement attaché, la tête emmailloté dans un drap. Il était immobile et seul ses flanc agité de rapide soubresaut indiquant le rythme étrangement rapide de sa respiration prouvait qu’il était vivant.
Une auras sombre se dégageai de sont corps en plein de haine et de soif de sang…De plus il était couvert de cicatrice plutôt récente.

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Elle avait peur…les bruit de pas se rapprochait, il y avait des chevaux… des hommes…
Ils étaient venue pour l’achevé ? Elle l’ignorait mais se qu’elle savait c’est qu’elle les haïssait ! Si il faisaient l’erreur de la libéré elle les tueraient ! tous ! jusqu’au dernier !

Elle avait renoncé a se débattre depuis plus d’une heure déjà, a quoi bon si ce n’est perdre son énergie inutilement ?
Elle était transpirait d’énervement, elle avait mal a force d’être couché sur le coté, ses entrave la faisait souffrir le martyre .
Le souffle lui manquait de plus en plus…Résultat de la drogue sans doute…

Gaeth descendit du dos de son ami. Le dragon était fort imposant, plus gros que Baldrik ! Plus agé sans doute... peut-être...
Le jeune homme s'adressa à son dragon :

* Comment la cernes-tu ? Tu crois qu'il serait possible d'entrer en contact avec lui *

* Avec elle, c'est une dragone *

* Oui bon, avec elle ? *

* Je peux essayer, mais elle m'a l'air bien renfermé... *

Le bleu se fit le plus receptif possible. Si elle tentait de communiquer, il pourrait l'entendre...

Il y avait un dragon avec eux…
Maintenant elle le sentait, elle ne l’avait pas sentie au début mais maintenant que les effets de la drogue se dissipait, elle en était sure il y avait un frère de sang auprès d’elle !

Elle voulue d’abord lui parlé et pour ce faire elle commença à noué sa propre aura a la sienne, l’esprit du dragon était ouvert, accueillent, comme un rayon de lumière… Une bien douce lumière qui semblait éclairé enfin le néant de sont esprit !
Le flot noir qui entourait son corps paru monté a l’assaut du dragon mais elle n’avait rien d’agressive bientôt, doucement elle disparus avec les peurs et la haine de la jeune dragonne, le cauchemar était fini ! Il allait l’aider !

Mais quelque chose n’allait pas…Il y avait un autre être… Quelque chose que les dragons libres ne connaisse pas… Une sorte de mince fil qui le reliait à…
Le contacte se rompis brutalement, un de ses frères avait lié son âme a celle d’un humain !
Comme pouvait-on commettre un pareil crime ? C’était tout simplement impensable ! Se souillé en se liant au des être qui ne savait que s’entre tuer ! Et faire le mal ! Sont corps mutilé n’était pas la preuve de leur folie meurtrière ?

Le flot sombre réapparut brusquement…Agressif envers les humains et le dragon…
Comment avait-il put en arrivé là ? Tout son être criait au sacrilège.
Sont aura se mêla en un instant a celle du dragon bleu.

Baldrik ressenti bientôt un violent flash le submergé, rien de précis juste une suite d’image à peine visible. Des images, violente et agressives, des visages d’humain reflètent la haine, la peur et la rage de tuer… Il vit le sang qu’ils avaient fait couler… Celui de la dragonne comme celui des autres…Des autres que lui dragon de chevalier ne connaissait pas mais qu’elle avait perdu… Et puis il y avait ce grand dragon vert qui revenait sans cesse, la mine sombre, résigné…
Baldrik sut qu’il était mort pour lui permettre de vivre. Et ce chant qui résonnait maintenant a son esprit ? Empreint de douleur, un son caverneux, triste et reprit par d’autre qu’elle, tous des dragons perdus, arraché à leur famille sans avoir rien demandé a personne.

Aräkann ne pouvait pas aligner des mots alors elle enchaîna par des sentiments.
Un sentiment de peur mêlé de haine engloutit bientôt le dragon, elle avait peur des hommes et de ce qu’ils allaient lui faire, elle avait peur que se reproduisent les douleurs du passé.
Le flot noir de son aura se décrocha de celle du dragon… comme a regret.
Lui laissant savouré le sentiment de profond dégoût qu’elle avait a son égard, se propagé dans son esprit.

Baldrik connaissait l'horreur qu'avaient certains dragons à l'idée de communiquer avec les Humains ; mais jamais il n'aurait pensé que ce sentiment pu être aussi fort !

Il tenta de garder contact avec la dragonne, malgré les images atroces de ses souvenirs qu'elle lui laissait percevoir. Il lui envoya un flot d'énergie blanche, pour tenter de la rassurer...
Il essaya de la mettre en confiances, et de lui expliquer :

*Je sais que des humains commettent des crimes irréparables et qu'ils ne pensent qu'à se battre... Mais certains ne sont pas comme cela, et en s'unissant à nous, dragons, ils essaient de faire le Bien ; comme mon ami...
Je sais que peut-être tu ne comprendras pas cet attachement, mais je t'assure qu'il fort et sain, et que nous ne te voulons pas de Mal !
Nous pouvons t'aider si tu te confies à nous...
Mais il faudrait d'abord que tu te présentes !... *

*******

Gaeth tentait tant bien que mal de suivre les échanges de Baldrik et de la dragonne bleue, mais il avait beaucoup de mal. Il se tourna vers Nirante et leur jeune guide :

- Baldrik essaye de la mettre en confiance, mais j'avoue peiner à suivre leur conversation...

Habitant Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 15/11/2006

Nirante grimaça, elle espérait silencieusement que le dragon écouterait son congénère.

- Il... ou elle est magnifique... murmura-t-elle.

Elle sentait un trouble au fond d'elle, comme si son coeur se serrait (au sens propre).

La dragonne s’agita… Tira sur ses chaîne pendent que dans l’esprit de Baldrik résonnait un cri sauvage… furieux, emplie d’une haine farouche.
Comment osait-il proféré des tell insanité ?Un être noble, puissant ! un dragon ! un des ses frère de sang ! Jamais !

La colère lui donna la force d’articulé mentalement pour le dragon bleu.

* Mon nom ? Tu veux mon nom ? Ar’kann ! Enfant des vents ! Dragon libre qui a vue sa vie anéantir !Ses proche se sacrifié et mourir par la faute de tes COMPAGNONS ! Ces chaînes qui m’entrave sont une insulte a notre peuple ! Nous sommes née libre ! Comment peux t’on en venir a sacrifié ce cadeau pour un être humain ? N’a-tu jamais goûté a la liberté ? tu n’est qu’un traître ! Tu a bafouer notre race en te liant a ces monstres ! Tu nous a salit ! Seul ta mort peu nous faire retrouvé l’honneur que tu nous a prit ! *

Aräkann se débattit férocement, grondent, mais au bout de quelque instant sa tête retomba au sol, les chaîne était trop solide pour elle…du moins tant que les effet de cette drogue ne se serais pas dissipé.
Elle resta là, haletante à maudire le dragon et les humains.

Baldrik n'avait pas la force spirituelle de la dragonne, mais il descendait tout de même d'une grande famille de seigneurs dragons. Aussi parvint-il à lui faire entendre sa voix, sur un ton d'autorité qui aurait mis au pas n'importe quel humain, mais peut-être pas une dragonne...

* Je suis Libre Aräkann ! Je suis ami des hommes, de certains hommes, mais je suis libre ! Je suis Baldrik, de la lignée des seigneurs dragons du Valdyr ! Et même si mon rôle de défenseur de la justice me fait vivre en symbiose avec l'héritier de la maison humaine du Valdyr, je combats nombre d'hommes... Mais aussi de dragons... *

Il continua, plus enflammé encore :

* Car tu penses aux tiens que des hommes mauvais ont tués, mais pense aux hommes innocents, à leur femme, à leurs enfants, que le feu de certains de nos congénères ne se gène pas de brûler, d'immoler pour le plaisir...
Les Humains sont mauvais Aräkann... Mais les dragons ne sont pas des saints...
D'ailleurs aucune race ne vaut mieux qu'une autre !...
Mais c'est à ceux qui défendent la justice de s'unir, afin de combattre le Mal sous toutes ses formes...*

Le dragon redevint ensuite plus doux dans son ton :

* Et pour ce qui est de mon Honneur, sache qu'il est sauf, mais nous n'avons pas les mêmes codes, dans ton monde et dans celui-ci... Pour moi, seul le crime, la débauche, la lâcheté, la bêtise, l'hypocrisie, la méchanceté, l'avarice et quelques autres vices, peuvent salir mon honneur...*

_______

Gaeth ne comprenait plus rien à la discussion des deux Bleus, tout ce qu'il voyait, c'est qu'il s'enflammaient l'un est l'autre...

- La conversation a l'air animée... mais j'ai totalement décroché...

Habitant Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 15/11/2006

Nirante piaffait d'impuissance.

- Comme j'aimerais lui parler ! On lit la souffrance dans chacun de ses mouvements...

La jeune femme regardait Gaeth, impuissante.
Alors elle se mit à souhaiter en silence que les deux dragons puisse s'entendre.

- Gaeth... Faites dire à votre dragon que si son congénère se calme, je la libérerai de ses chaînes !

La haine et la colère était toujours présent dans le cœur de la dragonne mais étrangement le point de vue du dragon bleue l’intriguait…

* Comment peut-t-on être ami des hommes et les tuer ? Nos frères n’ont-ils pas raison de tuer les femmes ? Ne sont telles pas elles qui font les enfants ? Et pourquoi ne tueraient ils pas les enfant ? Ce ne sont il pas eux qui en grandissant devienne des hommes et tue a leur tour ? C’est logique non ? *

Le ton n’était plus menacent… Juste un peu dur mais quand elle enchaîna il était de nouveau hargneux et irrespectueux.

* De toute façon ça ne changera rien… je vais tous leurs faire payer… qu’importe les innocent ! Tôt ou tard il ne le seront plus alors…Mieux vaut qu’il la garde en périssent tout de suite… leurs innocences! *

La dragonne marqua une pause, laissent inconsciemment flotté dans l’esprit du dragon quelque chose ressemblant a de la peine.

* Les dragons ne sont pas comme les hommes… *

Aräkann se débattit avec plus de force que les fois précédentes tandis que dans l’esprit de Baldrik elle poursuivait d’une voie étrange.

* Ils sont pires…Bien pire que les hommes… *

Le point de vue de la dragonne lui était décidément incompréhensible !

* Nous n'avons pas été élevé de la même façon, ni dans le même monde, ni avec les mêmes chances... Je ne sais pas si un jour nous pourrons nous comprendre réellement... Mais je ne désespère pas !... *

Soudain, Baldrik perçut la voix de son chevalier dans sa tête :

* Baldrik, dis à "ta congénère" que si elle reste calme, Dame Nirnate promet de lui ôter ses chaines !*

Le dragon acquiessa et transmit le message :

* Si tu promets d'être calme et de ne rien dévaster, dame Nirante (la jeune fille qui se trouve aux côtés de mon ami), promet de t'enlever tes chaînes ! *

Le Bleu ne savait pas du tout comment Arakann prendrait la proposition, mais il l'espérait, le mieux possible...

Elle sentait ses force lui revenir… plus que quelque seconde…
Aräkann tira légèrement pour évaluer la résistance des lien qui l’entravait, bien moins solide que ceux des terres sombres…

De l’amusement passa dans l’esprit du dragon, sa « congénère » se moquait de lui !
* Crois-tu que je vais accepté ton aide ? *

La saphir, grogna et tendit ces muscle un a un… Elle posa un grognement sourd et tira violemment sur les liens les tendent a l’extrême.
* Crois-tu que je vais me soumettre a la volonté de ta « dame » ? *

Un craquement… puis un autre et tout d’un coup le bruit du métal qui se brise, les chaîne venait de brisé…
La dragonne tomba sur le flanc, haletante, s’immobilisa quelques instants.
* Je n’est que faire de l’indulgence d’une humaine ! *

Elle se releva soudainement, certain de ses liens pendant encore le long de ses flancs, encore aveuglé pas le tissus qui ne c’était pas décroché…
* Vivre avec les hommes ne t’a pas réussi… tout les dragon de ton monde sont ainsi ? Lier au humain par l’honneur et le cœur ? *

La dragonne s’ébroua, laissent tombé quelques gouttes de sang… les chaîne était plus solide que ce qu’elle pensai elle lui avait entamé la chaire a plusieurs endroit.
* Puisque l’on semble si différent… Apprend que chez moi on meurt mais on ne se soumet pas ! *

La dragonne découvrit les crocs et un grondement semblable au tonner jailli de ses entrailles.
* Et maintenant qu’es qui m’empêche de vous tuer ? *

Habitant Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 15/11/2006

Nirante sentit le sang battre dans ses tempes, le dragon ne semblait pas du tout prêt à coopérer. Maintenant, il était même quasiment libre, et eux étaient "à sa merci" d'une certaine façon.

Sans vraiment se rendre compte de ce qu'elle faisait, Nirante descendit de sa monture, que Lilyan se dépêcha de retenir pour ne pas qu'elle fuit. La jeune femme tomba à genoux sur le sol.

- Ma Dame !

Mais elle ne l'entendait plus, elle priait, elle priait de tout son coeur.

* Je t'en prie, qui que tu sois, j'ai connu les châines moi aussi, j'ai connu la souffrance, ce genre de douleur qu'aucun dragon ne pourra ressentir. Je sais que je n'ai rien de commun avec toi, je sais que je ne peux pas comprendre; mais je t'en prie... *

Elle ne "priait" pas pour être entendu de la dragonne, car à cet instant elle fut convaincue qu'il s'agissait bien d'une dragonne, mais parce qu'elle se sentait poussée par quelque chose d'inexplicable.

* Je t'en prie, je ne te supplie pas parce que je veux vivre, je n'ai que faire de mourir, mais je serai malheureuse qu'un être aussi beau que toi entâche son âme de sang innocent... Car nous sommes innocents, tout ce que nous voulons, c'est faire cesser la douleur : la tienne et la nôtre. Nous sommes de l'espèce la plus vile qui soit, mais laisse-nous la chance de te prouver que nous pouvons changer... *

L’aura sombre que dégageai la dragonne ondulait… visible au yeux de tous elle avait quelque chose d’inquiétante…

Le buis mate de quelqu’un qui tombe…
La dragonne se trouvait face a l’humaine et sans avoir compris pourquoi elle lui avait ouvert sont esprit…
Elle était immobile attentive car quelque chose n’allait pas…
La personne qui se trouverai face a elle était différente des autre humain présent… Elle n’était pas comme les misérable créature qui sortait des habitation et se rassemblait autour d’elles arme a la main.

Non, de sont être émanait un sentiment étrange.

Ar’kann tentait de comprendre. Les paroles de la jeune femme était pleine de se sentiment, cette censation…
Non c’était plutôt une impression… En vérité elle n’en savait rien.
Et si c’était ça… Cette chose que tentait de lui expliqué sont frère reptilien ? Cette chose qui le reliait a l’homme…

Nous sommes de l'espèce la plus vile qui soit, mais laisse-nous la chance de te prouver que nous pouvons changer...

La dragonne baissa la tête, soudainement perdue.
Ces naseaux était a la hauteur du visage de l’humaine qui devait d’ailleurs sentir sont souffle.
* Relève toi, le sang ne coulera pas ici, en tout cas pas aujourd’hui *

Aräkann hésita un instant puis lentement se mis sur les genoux.

* Je ne connaît ni ton nom, ni ton visage mais sans savoir pourquoi tu est différente… Personne n’est innocent, nous sommes tous taché de sang. Tout a l’heure je ne pouvais comprendre mon frère mais a présent je pence que je le peux. En votre compagnie le dragon est libre, il ni a ni dominent ni soumis, nous somme égaux. Puisque ici c’est apparemment une tradition permet moi de partagé ton esprit et ton âme… Car si je doit lié mon destin a celui d’un humain, il ne seras personne d’autre que toi. Je te fait donc dont de ma fois… *

Elle ne la voyait pas mais elle était certaine, sans vraiment savoir pourquoi, qu’elle avait fait le bon chois…

Baldrik n'en revenait pas du changement qui s'était opéré dans l'esprit de la dragonne... Il avait suffit de quelques mots... De la sincérité de Nirante... pour qu'à présent elle soit apaisée, et aille même jusqu'à se lier à la jeune dame !...

* Baldrik, je n'en reviens pas que l'on ait réussit à éviter le drame !*

Le chevalier s'appuya contre le flanc du dragon, respirant le vent, soulagé, le sourire aux lèvres...
Cette affaire semblait en bonne voie... Et les alliés n'étaient pas à négliger dans cette période de trouble...

Habitant Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 15/11/2006

Nirante se releva, mais même debout, la dragonne la dominait largement ! Elle restait sans voix, elle pleurait.
Elle avança doucement la main vers les écailles bleues de la créature, et lorsque ses doigts la rencontrèrent, elle éclata en sanglots.
Les paroles de la dragonne l'avait touchée profondément, et elle avait le sentiment que les ruines de son coeur tombaient en poussière, afin d'en reconstruire un tout nouveau, bien plus beau.

- Mon nom est Nirante... Je te fais don de ma foi également. Tant que je vivrai, je ne permettrai à personne de te faire du mal, ou même de simplement y songer. Désormais ce qui est à moi est à toi.

Elle ne pouvait plus parler, les larmes coulaient toujours sur ses joues.

- Merci, finit-elle, Merci d'avoir enchanté mon existence.

Elle se senti submergé par l’émotion de la jeune femme… une émotion sincère.
La tristesse l’envahi a sont tour, si c’était ça partagé la vie d’un humain, elle était mal partie.
Alors presque inconsciemment elle d’éploya les ailles et les plaçant a la manière d’un bouclier, protégent Nirante du monde extérieur.

* Ne pleure plus… tu me fait de la peine, et je te préviens si quand je pleur ce n’est pas beau a voir ! *

Elle garderai la tête entre les ailles n’osent pas se dégagé de la main de l’humaine.

La dragonne souffla doucement sur le visage de sa dame et lentement frotta sa joue contre la main qu’elle lui avait offerte, il y a quelque instant se contacte l’aurait répugné mais maintenant...

* Mon nom est Ar’kann… J’aimerai te voir. Voir ton visage et sécher t’es larmes…Je t'es fait du mal? Je ne voulait pas tu sais… *

L’aura sombre qu’elle dégageait jusqu’a présent disparue peu a peu.
Elle fini par se dégagé de l’étreinte de Nirante et posa sa tête contre la poitrine de celle-ci, avec tendresse.

Habitant Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 15/11/2006

Nirante sourit, essuyant ses larme d'un revers de manche.

*Ce n'est pas de ta faute, je ne suis pas triste... C'est juste que l'on m'a toujours répété que je ne pourrais jamais approcher un dragon, et encore moins me lier à lui... Je... Tout est allé si vite... Tu viens de réaliser mon plus grand rêve Aräkann...*

La jeune femme n'avait pas l'habitude de la conversation mentale, aussi écorcha-t-elle un peu le nom de la dragonne.
Elle caressait doucement les écailles bleues d'Aräkann, comme s'il s'agissait d'un trésor.

*Pourquoi ne peux-tu pas me voir ?*

La commissure des lèvres de la dragonne se releva dans un sourire dragonique.
* La joie t’aurai-t-elle fait perdre la vue ? *

La dragonne agita la tête faisant bougé en même temps le drap qui l’empêchait de voir.

*Il est drôlement bien accroché en plus…Je n’arrive pas a m’en débarrassé depuis tout a l’heure ! Tu peux le faire pour moi ? *

Ar’kann replia les ailles, elle était toute ankylosé de cette sieste forcé !

Habitant Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 15/11/2006

Nirante se sentit tout d'un coup très stupide, elle s'empressa de débarasser la dragonne de ce qui la gênait, et la laissa la regarder.

- Alors ? Je ne suis pas trop quelconque pour une humaine ? dit-elle avec humour.

La jeune femme sourit, beaucoup d'Hommes trouvaient que les dragons se ressemblaient tous, il devait en être de même à l'inverse !

Quelconque pour une humaine? La bonne blague ! Elle y connaissait rien en humain elle et en plus elle n’y voyait rien a cause du soleil !
Un peux embarrassé la dragonne préféra réponde de façon neutre :
* Je ne sais pas… je verrait avec le temps *

Aräkann secoua la tête, la lumière l’aveuglait…elle préférait nettement les grottes obscures de sont monde !

Puis elle se tourna vers Baldrik.
* Je suis… désolé pour tout a l’heure *

Baldrik adressa un regard compatissant à la dragonne :

*Ça n'est rien, je suis heureux que tu me comprennes désormais !... Mais je sais que c'est un concept difficile à saisir quand on n'y est pas préparé...*

Gaeth, qui laissait le temps à Nirante et à Aräkann de savourer cet instant, finit par s'exprimer :

- Dame Nirante, peut-être devrions-nous à présent... songer à retourner en Orbescence... Votre fief ne peut demeurer seul trop longtemps...

Habitant Nombre de messages : 91 Date d'inscription : 15/11/2006

Nirante sourit à Gaeth.

- Effectivement, je pense que je vais de ce pas envoyer Lilyan eu château, avec vous même, si vous désirez vous reposer. En revanche, je dois, avant toute chose, faire quelque chose de très important.

La jeune femme sourit à Lilyan, qui la regarda avec une infinie tendresse, un peu trop visible d'ailleurs.

* Et toi Aräkann... Cela te plairait de m'accompagner ? *

La dragonne soufflât avec douceur sur le visage de l’humaine.
*La question se pose t’elle vraiment hum ? Je ne vais tout de même pas te laissé seule ! *

Aräkann lança un regard plein de reconnaissance vers le bleu puis le reposa sur sa dame.
D’un geste rapide elle déploya une aille.
* Si madame veux bien se permettre de monté, je me ferais un plaisir de l’emmener a bon port…mais a pied car ses temps-ci, les aire et moi…C’est pas la grande forme *

Aräkann ne voulait pas prendre le risque de renouvelé l’expérience du passage entre les monde ni celui de s’écrasé au sol… pas avec une cavalière en tout cas…