Arrivé...peux commune!

- Je serai heureuse de vous avoir à ma table. A très bientôt !

Elle sourit au jeune seigneur avant de poursuivre :

- Présentez mes respects à votre maison.

Nirante sourit, elle se demandait si Sharra allait bien, car elle l'avait un peu laissée en plan, et elle ne comptait pas rentrer immédiatement.

* Aräkann... Je ne suis pas trop sûre de moi, je n'ai pris place sur le dos d'un dragon qu'une fois, et c'était accompagnée... *

Le dragonne tourna la tête et regarda sa compagne.
* Très bien, alors dit toi que je vais y aller doucement… *

Elle replia les ailles et s’ébroua doucement (pour ne pas dérangé sa cavalière).
Puis elle se tourna vers le bleu et lui dit d’un ton enjoué :
* A plus tard !*

Finalement elle se mis en route, elle sortit rapidement de la ferme et une fois sortit des muraille, elle lança a sa cavalière :
* Ou vas t’on ? *

[message rapide ! manque de temps pour peaufiné]

Nirante indiqua la route à la dragonne, elles s'enfonçaient dans son fief.
* Je dois honorer une promesse...*
Elles se dirigeaient vers les bois dans lesquels, quelques heures plutôt, le mari de Nirante avait trouvé la mort.

==> suite : Les châteaux, "la stèle"

Le gamin en question resta immobile un instant, regardent le chevalier disparaître dans le ciel.
Il n’en revenait pas ! On lui proposait a lui, d’entré au service d’un chevalier dragon !
Il se voyais déjà côtoyant tout les jour des cavaliers de légende dont il avait si souvent entendus conté les exploits, et leurs montures sans qui ils ne seraient rien, ses être magnifique qu’était les dragons.

Mais une hombre vint troublé le fantastique tableau du garçon. Et la ferme ? On avait besoin de main d’œuvre ses temps-ci ! Il ne pouvait pas partir comme sa ! Et les abandonné !

Une main se posa sur sont épaule, celle de sont père, il lui souriais devinant les pensé de sont fils.
« Je crois que la ferme pourra se passé de sont poète favori. Et puis tu reviendra nous voir ! »

Tiar le regarda avec reconnaissance et se précipita dans le demeure familiale.
En une dizaine de minute il avait empaqueté ses affaires, pas grand chose en vérité.

Il venait de refermé la lanière de cuire de son sac.. c’était fini ? Il fit le tour de la chambre qu’il partageai avec ses deux frères, oui il n’avait rien oublié… Dut moins rien qu’il ne veuille gardé…

Tiar était la plongé dans une profonde réflexion quand un bruit attira un attention, une plainte faible mais qu’il connaissait bien…
Il entra doucement dans la pièce voisine, là étendue, pale et faible dans sont lit, sa mère le regardait avec une infinie douceur.

« Maman ! Tu ne devrais pas… »

Elle lui mis un doit sur la bouche pour le faire taire et de l’autre mains lui désigna une commode.
Il hésita un instant mais se rendis docilement sa ou elle lui demandait, une fois la elle lui indiqua sans un mot le troisième tiroir en partent du bas.
Il l’ouvrit et y pris la seule chose qu’il y avait a prendre, un petit paquet de tissu qu’il lui apporta.

Le regard plein de malice qu’elle lui lança quand il lui tendis le paquet le fit frémire, elle était si mystérieuse, on ne savait jamais se qu’elle avait derrière la tête !
Elle l’ouvrit avec mille précaution gardent soigneusement sont contenue a l’abri du regard de sont fils qui commençais a vraiment se demandé a quoi elle jouait.
Et puis tout d’un coup elle le vit, splendide, étincelant dans la pénombre de la pièce.
Elle le dégagea de son fourreau et fit dansé un instant ses maigre doit sur la lame gravée, pour finalement tendre l’objet a sont fils.
Le poignard était absolument magnifique, Tiar le dévorait des yeux, il n’avait jamais rien vus d’aussi beau !
Il redressa la tête, c’était pour lui ?
En guise de réponse sa mère récupéra l’objet et le rangea dans sa protection de cuire, le rendent ainsi pareil a tout les autre hormis le manche légèrement décoré.

Elle lui sourie mystérieusement, lui faisant signe de s’approché…
________________________________

Il jouait maintenant avec sont ceinturon, au bout du quelle était accroché la précieuse arme.
Son père n’avait rien dit quand il l’avait vue passé, il avait juste sourit l’aire entendu…

Tiar était assis au sol avec a coté de lui sa sacoche contenant toutes ses affaires.
Il attendait Gaeth, il attendait sa destiné !