Attaque

Tiar obéi sans sourcillé…

D’ou il était il voyait bien se qui se passait en bas…
le guerrier brandissait l’épée, ce n’était pas Gaeth, c’était donc un des bandit…
Le regard du garçon se portas sur l’épée qu’il brandissait puis sur sa cible.
Tiar fut complètement figé devant le spectacle, il ne pouvait pas laissez faire ça ! ils n’avait rien fait eux !!!!!
Il voulait descendre, a tout prix !

La jeune garçon cria de toute ses force au dragon bleu.
« Fait moi descendre Baldrik ! Fait moi descendre ! »

Quand le grognement retentit Tiar tressailli…Etait-ce un signale ? Le garçon devait tenté le coup.
« Merci, seigneur dragon ! »

Il lâcha prise se laissent glissé du dos du saurien. Tiar fit un vol plané, suivi d’un roulé boulé, resta étourdit un instant pour finir par se redressé et courir dans la direction ou il avait vue l’homme brandir l’épée…c’était depuis quelque seconde a peine mais quand il arriva, c’était déjà trop tard…

Le visage de la jeune femme était immobile, taché par sont propre sang…l’homme souriait fière de lui, il avait eu se qu’il voulait.
La haine submergea le gamin alors que sont regard descendait le long de bras de l’homme, dont a main agrippait par les cheveux deux jeune enfant.
Les yeux du gamin s’agrandire de stupeur quand il ne rencontra pas de corps la ou devrai se trouvé normalement celui des enfants.

Tiar tombas a genoux, il avait entendu parlé de la violence des pillages mais ne l’avait pas imaginé ainsi, pas si injuste !
Sont poing se serra. Comment pouvait t’on commettre un acte pareil ! Cet homme était donc fou !

L’homme lui faisait maintenant face, un sourire sadique sur les lèvres.
« Tien…toi aussi tu veux compléter ma collection de tête tranché ? »

C’était plus une affirmation qu’une question, Tiar le savait, mais il était paralysé par la terreur.
Comment pouvait t’on être si mauvais ? Répandre le mal ainsi autour de soit ?
L’homme brandissait sont épée, prés a frappé…Mais le gamin ne pouvait bougé, c’était plus fort que lui…
On aurai dit une exécution, Tiar la tête baissé, n’osent regardé son bourreau regardait a défaut le sol couver de poussière…
De poussière…
Tout d’un coup de mot lui hantait l’esprits, sans qu’il ne sache vraiment pourquoi.
De poussière, comme c’elle qu’il serrait dans sont poing fermer…

Le yeux du jeune garçon s’agrandirent de surprise, se qui fit hésité l’homme.
Le gamin en profita, d’un mouvement brusque du bras il lui balança le sable qu’il tenait dans la main, vers le visage de l’homme.
Le tueur lâcha sont épée recula dans un cris de douleur…Trébucha, tenta de gardé sont équilibre, fit quelque pas a la aveuglette mais ne pus empêcher la chute…
Un bruit sinistre retentit quand il s’empala sur un pieux.

Après la peur, Tiar fut submergé par un calme étrange, plus rien au tour de lui n’avait vraiment d’importance, les crie des pillards était étouffé et quand il se leva il ne prit même pas garde a la lame qui lui frôla le visage, lui égratignent la joue au passage.
Dans sont esprit tout devin flous, comme dans un rêve, alors que la jolie voie de sa sœur résonnait a sont esprit…

« Petit ! Ne reste pas là comme un légume ! Armes-toi ! »

Petit… Légume…
Tiar sorti de sa transe piqué au vif par les mots de sont maître. Il le dévisagea avec les yeux noire de colère.
Quand le cimeterre tomba a ses pieds il le ramassa avec une fureur peu contenue, on n’avait jamais osé le traité ainsi depuis qu’il avait 5 ans !

Un homme arriva sur lui toute lame dehors le gamin se baissa le dévisagea de ses yeux noire et frappa.
« Je ne suis pas un légume ! »

L’homme s’écroula sur le coup et Tiar dégagea la lame qui c’était fiché de le coup de sont adversaire sans même le regardé. De toute façon il avait d’autre chose a faire, en l’occurrence a évité de se faire égorgé vif par les deux gaillard qui l’avait prit en étau…

Le premier homme frappa trop haut dans son empressement et ne fit que lui coupé quelques mèches de cheveux…
« Héééé ! ma arête de bougé ! »

un sourire apparut sur les lèvres du garçon…finalement c’était comme a la ferme… il fallait évité les lames et assoné le coup le premier ! La seul différence était que les épées de bois avait laissé place a de vrais épée…

D’un coup de pied bien placé il neutralisa momentanément l’un de ses rivaux et fit une jolie balafre sur le ventre du second lui arrachant les vêtements…
Celui-ci fit un pas en arrière et reparti a l’assaut mais Tiar c’était déjà faufilé entre ses jambes et avait renouvelé le coup d’épée sur la nuque…
L’homme s’écroula sans un bruit tandis que le dernier des pillards se relevait en se massant l’entre jambe.
« Toi! Tu vas me le payer ! »

Il se jeta en avant a l’assaut du titan qui en vérité avait la taille d’un adulte « normal », mais celui-ci prévoyant le coup du plat de la mais fit valdinguer l’épée du gamin et l’attrapa avant que Tiar n’est eu le temps de s’éloigner.
Le jeune écuyer se senti soulever du sol et protesta.

« Non ! Non lâche moi ! C’est pas du jeu !Tu triche »
« Le vie n’est pas un jeu gamin… donné la mort ne l’est pas non plus ! »
« Je suis pas un gamin ! Lâche moi ! »

L’homme le secoua.
« Et puis quoi encore ! Vue je coup que tu m’a fait pas question ! »

Un sourire naquis sur les lèvres de l’Homme
« je doit avoué que tu te débrouille bien pour un gosse, avec un peu d’entraînement et beaucoup de discipline je pourrait faire de toi un bon guerrier ! »
Tiar protesta de plus belle :
« Non ! Pas question ! Je veux devenir chevalier Dragon pas bandit ! »

L’homme paru vexer. Il reposa le garçon sur le sol mais l’empêchent de fuir il l’obligea a lui faire face. Tiar frémi, son interlocuteur n’était pas jolie a voir, le visage balafré, les yeux exorbité…
« Tu a l’aire d’un solide gaillard… »Il se mit a regardé Tiar de toute part « Tu serait fils de paysan que sa ne m’étonnerait pas »

Le visage du jeune garçon se crispa et quand il jeta un regard désespéré vers Gaeth le sourire de l’homme s’élargie.
« Tu sais se que j’en fait des morveux de ton espèce ? »

Morveux…le regard de Tiar s’assombri…Légume, Petit et maintenant morveux !
Il lui cracha au visage ! L’homme qui c’était baissé pour être au niveau du gamin tomba en arrière dans un crie de fureur. Aussitôt la main de l’adulte se porta vers le sabre qu’il avait eu la mégarde de posé au sol mais il était trop tard Tiar s’en était saisi et la pointait sous la gorge de l’homme.
« Je suis tout sauf, Morveux ! »

[HRP:Pas bon d'énerver Tiar pas bon! ]

Soudain, dans un battement d'ailes, un grand dragon brun se posa lourdement à côté d'eux. Une jeune fille bondit de son dos et atterrit avec l'agilité d'un chat sur le sol luisant de boue rouge. Elle avait un arc long à la main, et à sa ceinture pendait un carquois à présent à moitié vide. Son regard était grave.
- Reste-t-il des survivant?, demanda-t-elle, inquiète, sans plus d'explications.

Elle regarda autour d'elle, enragée. C'était écœurant. Le sol était parsemé de cadavres sanglants et mutilés. Dire que peu de temps avant, elle chevauchait tranquillement Frabak dans le ciel sans nuages, avec l'intention de voir des amis dans ce village, précisément. Quelle ne fut pas sa stupeur se voir qu’ils étaient en train de se faire massacrés! Quel macabre hasard… Du haut des airs, elle avait vu une dizaine de bandits se sauver vers le Nord, voyant qu’ils ne pouvaient gagner. Les pus peureux, probablement… Enfin… Ils "étaient" dix. Il n’en restait maintenant aucun de ceux-là. Mlaraé avait usé tout son talent d’archère. Mais autre chose obsédait son esprit. Ses amis avaient-ils survécus?
Elle serra les dents, anxieuse, regardant les deux autre personnes devant elle.

Tiar sursauta quand le brun sa posa sur le sol.
Et quand la demi-elfe posa la question fatidique il resta silencieux et regard autour de lui.
Des survivants…
Le gamin haussa les épaules en signe d’ignorance et jeta le sabre qu’il tenait dans la main, sans lui accordée plus d’importance qu’il ne l’aurai fait avec une des épée en bois de la ferme.

Pour lui tout ceci c’était révélé être un jeu, les « morts » se relèveraient sûrement une fois qu’ils seraient parti.
Il n’avait pas encore comprit le sens de donner la mort, restent encore un temps dans l’insouciance de l’enfance.
Il marcha vers Gaeth qui se tenait prés de l’inconnue, envoyant valdingué au passage d’un coup de pied l’un des casques des bandits.
Arrivé a la hauteur du chevalier il avait abandonné sont aire concentré et avait de nouveau le sourire, le regard espiègle il lança sans retenue a l’étrangère.

« Vous leur voulez quoi aux survivant m’dame? »

Même dut haut de ses onze ans, il n’avait pas froid aux yeux.

Le dragon laissa échapper un nuage de fumé dans un léger grognement. Son amie avait mal; quel arrogance!
-Laisse, Frabak, dit-elle pour le calmer.
Mlaraé plongea son regard gris dans les yeux du gamin. Elle serra les poings, mais garda son calme.
-Ma meilleure amie d’enfance habite tout près d’ici. Voilà ce que je leur veux aux survivants…, murmura-t-elle la voix étranglée.
Elle détourna les yeux vers le champ de bataille. Ce n’était pas son premier, mais elle n’avait pas l’habitude. La maison de son amie se tenait là, à l’orée du bois. Il n’y avait pas un bruit. La porte avait été défoncée et des morceaux de bois parsemaient l’entrée. Voyant sa peine, Frabak s’approcha de sa dragonnière et frôla affectueusement son museau sur ses cheveux. Il lui dit :
-Mlaraé… Sois courageuse.
Sans l’écouter, elle se mit à courir vers la chaumière délabrée. Les deux autres devaient la trouver bien étragne, mais elle s'en moquait pour l'instant.

Il faisait noir à l’intérieur. Tout avait été saccagé avec une sauvagerie incroyable. Et elle les aperçut. Quatre corps étaient couché en plein centre de la pièce. Deux adultes, une femme et un homme. Une jeune forme étendue, dons les cheveux d’or entremêlés cachaient la figure. Sa robe blanche était maculée d’une grande tache au niveau du cœur.
Les larmes aux yeux, baissa la tête. Elle avait passé toute sa jeunesse avec elle. Frabak vint la rejoindre, mais dut rester à l’extérieur à cause de sa taille.
Ébranlée, et impuissante, la jeune demi-elfe plaça les bras de la morte en croix. Elle ne pouvait faire rien d’autre. Son visage figé était paisible. Elle était arrivé trop tard pour la sauver. Soudain, elle ressentit un violant malaise. Elle sortit sur le porche en chancelant, les joues rayées de traces de larmes.

En silence, elle avait pleuré sur l’épaule de l’inconnu. Elle s’en moquait de sa dignité, de tout ce qui restait. En arrière, un peu à l’écart, Frabak grognait un peu, méfiant, mais ne s’imposait pas, voyant qu’il n’avait pas de menace. Peu à peu, Mlaraé se calma. Mais quand elle vit l’homme reculer, elle vit bien qu’il était blessé. Elle jugea qu’il était inutile de lui demander si tout allait bien; l’entaille avait l’air assez profonde…
-Ne bougez pas, lui dit-elle tranquillement en essuyant ses larmes.
Elle fouilla rapidement dans une un petit sac à sa ceinture. Elle en ressortit rapidement une poignée de feuilles séchées. Elles venaient de la forêt de Féeria, où vivait son père. C’est lui qui lui avait apprit à les reconnaître. Elle se pencha vers le chevalier, et lui dit :
-Voici un remède que les Elfes utilisent pour soigner des blessures semblable à la vôtre.
La jeune fille les lui tendit et attendit poliment de voir s'il les accepteraient.

Tiar ne répondit pas immédiatement, il était accroupi devant un scarabée et le contemplait le regard émerveiller. L’insecte au yeux cuivré quant a lui continuait sont petit bout de chemin.
Après une observation plus poussé on pouvait voir les yeux du gamin luire d’une façon particulière, et on pouvait déchiffrés au mouvement silencieux des ses lèvres les mots suivants :
Petit scarabée
Aux reflet marbré
Ou vas tu ?
Dans quelle but ?

Petit scarabée !
Aux yeux mort-dorée
Vas y dit le moi !
Dit moi ou tu vas !

Petit dragon de cuivre
Chante moi ta joie de vivre
Chante moi ta passion
Que tu voue aux saisons

Et que par de-las les vent !
Que pas de-las le temps
Tu trouve ton chemin
Tu accomplisse ton destin !

Le scarabée disparue dans une touffe d’herbe ne laissant au garçon que le temps de conclure a regret…

Vas petite bêtes !
C’est la ma dernière requête.

L’étrange lueur disparue des yeux de Tiar quand celui-ci se laissa choir au sol, sont sourire habituelle sur les lèvres.
« Moi ? C’est Tiar m’sieu ! A votre service ! »

«Alors, bonjour, Tiar...», lui dit doucement Frabak, qui était resté un peu à l’écart.

Mlaraé fut légèrement surprise; elle avait senti que son dragon s’adressait à lui. Normalement, il parlait rarement à un parfait inconnu, librement. Il devait aussi avoir entendu les mystérieux vers du garçon, tout comme elle, télépathiquement. Il aimait la poésie…

«Tiar…», songea-t-elle aussi.
Ce petit garçon l'air si innocent avait-il des facultés magiques? Elle ne pouvait pas percevoir la nature de sa force intérieur. Mais d'une façon ou d'une autre, cela pouvait être bénéfique. Étrange, tout ça...

Puis, comme c'était le temps des présentations, elle s'adressa aux deux.
-Je suis Mlaraé. Je suis née dans ces environs. Et voici Frabak, mon ami.
Elle sourit et leur montra de la main le grand dragon, qui fixait toujours le gamin, et poursuivit.;
-Heureuse de vous rencontrer. Je vous remercie pour... Pour, enfin, euh...
Sortant de sa torpeur, Frabak ricana par pensée à sa dragonnière, formant une "barrière mentale" pour éviter que les autres n’entende pas :
«Pour ses bras réconfortant, peut-être…»
Se forçant d’ignorer la taquinerie du dragon brun, elle changea de sujet en rougissant légèrement.
-Mais vous aviez raison. De sombres forces secouent nos terres.
Son regard se promena sur le champ de bataille où régnait un silence oppressant, outre les lamentation faibles des mourants. Elle resta songeuse.
-En Orbescence... Qu'allez-vous y faire? Moi... Je n'ai plus vraiment de destination précise, a présent.

«Frabak, s’il te plait…», pensa-t-elle en grommelant.
«Désolé, c’est plus fort que moi!», pouffa-t-il.

Le sourire du gamin s’élargie quand la voie du dragon résonna dans son esprit.
« Bonjour…Frabak »

Mais le sourire juvénile disparue bientôt quand il se leva pour saisir doucement la mains de la demi elfe avec cette lueur étrange brillant l’espace d’un instant dans l’immensité brune qui était ces yeux.
« Moi je sais qu’ils vous manquerons mais en pensent a eux ils ne vous oublierons pas… »

La lueur disparue de nouveau et le sourire réapparue.
« Vous v’nez dite ! Vous v’nez ! »

L’espérance luisait dans sont regard.

Un sourire timide se dessina sur le visage de Mlaraé. Pour ne voulait pour rien au monde s’imposer, mais la joie prit place dans son cœur.
«Frabak?», lui demanda-t-elle. Elle se dit qu’il serait bien impoli d’accepter sans son avis.
Le dragon hocha la tête en disant :
«Je crois qu’on va bien s’amuser!»
S’amuser… Bof, on verra bien!

Les mains toujours dans celle du garçon, elle promena son regard sur ceux des autres. Elle était heureuse d’avoir fait d’eux des amis. Un chevalier-dragon, l’air prestigieux et expérimenté, et un jeune garçon énigmatique avec un possible potentiel magique, ou pour le moins particulier. Des alliers précieux.
-Eh bien, si vous êtes sûrs que je ne vous dérangerais pas… Ce serait un grand plaisir! Merci!

Rejoindre sa "demi-souveraine"… (Elle qui vivait dans deux mondes à la fois...) La reine Nirante… Elle n’avait jamais vu quelqu’un d’aussi illustre. Elle ignorait même si elle savait qu’un Elfe, son père, a vécu sur ses terres. Peut-être, peut-être pas. De toute façon, cela ne changeait pas grand-chose, à présent. De plus, le soleil s'approchait de plus en plus de l'horizon...

Comme il se faisait tard, elle accrocha son arc dans son dos puis grimpa sur Frabak., qui s’était accroupit pour la faire monter.
-Bon, alors, allons-y!

Frabak fit quelques cercles en prenant de l’altitude.

Voler…

Mlaraé ne pouvait se lasser de cette vitesse enivrante, du vent froid qui ébouriffait ses cheveux et qui faisait claquer ses vêtements, de cette sensation exaltante d’être entre ciel et terre, et de voir les forêts et les rivières étincelantes de soleil à perte de vue. Ses moments de paix parmi les oiseaux migrateurs et les nuages, sans se soucier d’autre chose que de se cramponner à sa selle pour ne pas tomber. Cette liberté étourdissante, ce sentiment de se sentir infiniment petit par rapport au monde. Même les rois les plus puissants, peut-être les dieux-eux-mêmes, ne peuvent surpasser la grandeur de ses étendues sans fin. C’était le calme. On entendait que l’air qui sifflait et les battements fougueux des ailes de Frabak. Mlaraé sourit.
-Merci, mon ami…, dit-elle simplement.
Le dragon, ressentant sa joie malgré sa tristesse récente, se laissa planer quelques instants vers le dragon bleu.

Puis, la jeune fille se tourna vers le chevalier et lui cria, pour couvrir le bruit du vent :
-Nous vous suivons. Êtes vous sûr que vous irez bien pour le vol? Votre blessure…
Elle savait qu’il n’y aurait pas de problème, mais on ne sait jamais…