Dragon noir et faucon blanc (suite de "un départ")

Zirria:

-Comme c'est beau..., murmura la jeune Elfe quand elle fut a terre.

Que de maisons, que de colones blanches qui s'harmonisait si bien avec la nature! Ils s'étaient posés sur une des buttes les plus hautes de la ville, et de la, ils avaient une vue imprenable sur la cité. Le soleil faisait doucement luire les feuilles et les cascades d'eau. tout était si harmonieux! Au loin, on entendant des voix joyeuses et des chants doux.

Elle regarda au ciel. Esariel n'était pas en vue. Normal! Un faucon, ça allait beaucoup moins vite qu'un dragon! Il la rejoindrait plus tard.

Mais, tout a coup, en se tournant vers Dreyan, Zirria eut une idée. Extrêmement curieuse, son esprit se tournait vers le rouleau de parchemin que son grand-père avait confié au dragonnier. Il lui sembait que Harnaar lui avait déja enseigné une certaine formule pour débloquer ou déverrouiller... Peut-être qu'elle marcherait! Elle avait une folle envie de le lire, ce mystérieux message.

-Euh, Dreyan? Si vous voulez, je peux me charger d'apporter ce parchemin a Elkirien... Je l'ai déja vu.

Elle prit un air charmant, et tendit la main.

Dreyan:

-Euh, si vous insistez...

**Attention, Dreyan, je sens qu'elle a une idée derrière la tête...**, lui murmura son dragon.
**Bof, nous verrons bien.**

Et il lui donna le rouleau, que Zirria prit èa toute vitesse.

(excusez-moi si je change l'idée que vous auriez de la justice Elfe. Je me suis permise un peu de liberté! )


-Merci beaucoup.

Ses yeux étincellaient de curiosité. Voyons donc. Quelle était encore la formule? son grand-père avait sûrement scéllé l'étuit. Elle se concentra.
"Arrr! Allons donc! La formule, la formule..., pensa-t-elle. J'aurait mieux fait d'écouter grand-père au lieu de rêver! Je ne me rapelle plus! ... Ah, oui! Je crois que c'est quelque chose comme ça."

Elle prononça quelques mots hésitants en language magique. Aussitôt, un petit cerceau de métal s'enroula autour de l'étuit du parchemin.

" Oups! Ça, c'est pour verrouiller. "

Rougissant un peu de son erreur, sous le regard de Dreyan, elle réesseya une autre formule. Cette fois-ci, cela fonctionna, et Zirria poussa un petit cri de triomphe quand le rouleau s'ouvrit.

-Je vais juste jeter un petit coup d'oeil..., dit-elle innocament en ouvrant la lettre.
Et elle lit.
Elle fronça les sourcils quand elle termina.
C'était donc ça...
Elle hésita. Puis, décidant que ce serait pour le mieux, elle tendit le parchemin au Dragonnier.

Elkirien.

Cela fait si longtemps que je souhaitait te parler. J'espère que tu vas bien et que tu es en sûretée.
Mon jeune ami, je voulais te prévenir. J'ai apperçut des dragons de l'armée qui patrouillaient encore la forêt. Ils sont peut-être a ma recherche. Je crains qu'il ne retrouvent ta piste. Je ne sais pas ce qui les ont fait reprendre les recherches.
Je me demande toujours ce qui t'as poussé a assassiner ce général. Je sais que tu n'aimes pas que j'utillise ce terme, Elkirien, mais c'est ce qui c'est bel et bien passé. en ces temps, tu ne t'imaginnais pas quels ennuis cela allait nous causer!
Je me suis caché dans la forêt, avec la petite Zirria, jusqu'a présent. Elle ne sais pas encore pourquoi nous vivons ici. Je lui expliquerai un jour.
Je réussis a brouiller la vue puissantes des gardes et de leur monture avec quelques sorcelleries, mais j'ai quand-même peur.
J'espère que je ne t'ai pas sauvé pour rien, cette journée la, qu'ils croient encore que c'est moi le coupable. Mais je sais qu'ils sont acharnés, ces gardes! C'est pourquoi je te demande encore, malgré toutes ces années passées, d'être prudent.

Harnaar.


C'était donc, ça la raison pour laquelle ils avaient toujours vécus cachée... Soudainement, Zirria sentit une haine monter en elle. Pourquoi c'est elle qui avait payé pour tout ça?
Elle eut un peu de regrets d'avoir montré cette lettre èa Dreyan, mais au moins il saura s'ils se faisaient capturer!

Dreyan eu un mouvement de recul qu'il maitrisa.
*-Tun as entendu ca Yrkshys? Dans quel petrin nous sommes nous fourrés?
-Effectivement, de toute facons ,c'est tout vous ca, les humains, un truc qui ne vous plais pas et vous arrangez ca avec des armes.
-Yrkshys!nous ne sommes pas tous comme ca ! Et puis qu'allons nous faire maintenant?
-...
-c'est pas une reponse ca, ça ne va pas nous faire avancer.
-on continue , on questionne le receptionnaire de la lettre, on le moleste un peu s'il refuse de parler,et on avise ensuite
-et c nous qui reglons tout les problemes avec de la violence, hein?
_...*

Dreyan se tourna vers Zirya
-Bon, nous allons essayer de le trouver et d'en savoir plus.
Remarquant l'air courroucé de la jeune fille il essaya de la rassurer:
-Ton grand pere n'y est pour rien dans cet assassina, meme si il y est melé quelque part. Il l'a marqué dans la lettre.
*-Tentative maladroite.
-oh c'est bon toi, je ne suis pas habitué. fais le toi si c'est si simple.
-je peux pas la je suis en train de me lbaigner dans un lac a coté.
-grumpf.

soudain, Dreyan remarqua un homme qui les observais. L'homme s'en alla.
*Curieux , il faudra etre prudent.
-compris j'arrive.
-Ca veut dire quoi ces sous entendu?

Son expression de colère se métamorphosa en regard intrigué.
« Il n'y est pour rien, même s'il le dit dans la lettre... Euh... », pensa Zirria en tentant de comprendre le sens de la phrase.
Bof, elle saisissait le sens!

Mais elle se retourna en voyant le chevalier-dragon observer quelqu'un qui partit aussitôt. Intriguée autant qu'inquète, elle demanda:
-Qui a-t-il? Qui était-ce?

Dreyan fut surpris que Zirrya ai remarqué l'individu.
*Peut etre est elle plus douée que je ne le pensais.*
-Je ne sais pas, mais tu n'as pas a t'en faire tant que tu seras pret de moi il ne t'arrivera rien. Declara Dreyan qui s'ameliorai dans ses tentatives de la rassurer. Euh mais on va ou? Peut etre a tu une idée? Ton grand pere avais dit qu'on pouvais trouver le destinataire du message a l'auberge...
*-Yrkshys on dois aller ou déja?
-mhhhhhh , je ne sais plus, que me donne tu en echange de l'information?
-Yrkshys! s'il te plais, je suis en train de passer pour un pitre.
-Ca je le savais déja. Donc c'est l'auberge : le chene de cristal.*
-A l'auberge du chene de cristal, finit l'elfe . Je vais me renseigner pres d'un garde.
*-ca voulais dire quoi le : Ca je le savais déja?
-Ca? Mais rien du tout que va tu donc t'imaginer là?
-grumpf.*

Dreyan s'approcha d'un garde.
-Bonjour mon sieur, entama-t-il, je voudrais savoir ou trouver l'auberge du chêne de cristal.
-L'auberge du chêne de cristal? Et bien, il vous faut monter un peu plus haut par cette rue , ensuite, vous tournez a la premiere a droite et vous y etes, repondit aimablement le garde.
-je vous remerci.
-De rien, c'est aussi mon metier quoiqu'en pensent certains autre de la profession comme un de mes camarades...

Dreyan s'en alla avant d'etre assomé par le flot de parole que deversais le garde.

Il informa Zirria:
-Il faut monter un peu plus heut et tourner a droite.
*-Yrkshys, je te donne quartier libre jusqu'a demain matin.
-Monsieur est trop bon.
-Mais tu reste aux alentours de l'auberge .
-si tu appelle ca un quartier libre.
-...*

Au chêne de Crystal? bon. Ce nom ne lui disait rien.
-Alors, allons-y!, dit-elle gaiement, semblant avoir retrouvé malgré tout sa bonne humeur.
Elle se mit en route vers la direction indiquée en compagnie de Dreyan. un peu plus loin, elle remarqua l'insigne pendante de l'établissement qu'elle cherchait.
-Ah, c'est ici!

Il s'agissait d'un bâtiment assez étroit, mais tout en hauteur. Décoré simplement, la peinture de la porte s'écaillait un peu, vaincu par le temps. Quelques petites fenêtres trouaient les murs, et une lanterne était accroché à l'entrée, attendant d'être allumée dans la soirée. La jeune Elfe poussa la lourde porte et se glissa à l'intérieur suivie du dragonnier. Un humain costeau était derrière un comptoir un peu sale.
Il demanda aux nouveau venus du'un ton un peu bourru:
- Oui, que puis-je faire pour vous?

«Un humain?», pensa-t-elle en le voyant. C’était la première fois qu’elle voyait un humain. Elle ne put s’empêcher de sourire pour ne pas pouffer de rire en voyant ses petites oreilles rondes et son air lourdaud et rustre.

Zirria ouvrit la bouche, mais ne répondit pas. D'un coin de la pièce un peu sombre, des notes de harpe Elfique vinrent vibrer dans ses oreille pointues. Elle tourna la pièce, curieuse, et vit un grand Elfe en armure qui promenait ses doigts effilés sur les cordes tendues de son instrument. Elle balança la tête au rythme de la merveilleuse musique. Que c’était beau!

Tout à coup, l’aubergiste quitta son poste derrière le comptoir et s’approcha de son nouvel ami.
-Eh, ce n’est pas vous, Dreyan?

Dreyan surpris que l'on connaisse son nom hesita sur la marche a suivre.
-Moi? euh non pas du tout...Enfin si pourquoi?
*-Yrkshys, reste au dessus de l'auberge, on connais mon nom , je ne pense pas que ce soit bon signe.*

Il detailla l'elfe aupres duquel etait l'aubergiste.
Il était d'une taille normale, et vetu d'une armure de plaque ainsi que d'une cotte de maille. Une personne pouvant porter pareille protection devais posseder une force peu commune.

Le dragonnier s'adressa au harpiste.
-Est ce vous qui me cherchez? Dans ce cas j'aimerai connaitre votre nom ainsi que savoir comment vous avez pu avoir connaissance du mien. questionna t il d'un ton peu amene.

Il porta la main discretement a son sabre et examina l'armure pour trouver des points faibles.

Oh, non, pas de la bataille! Du sang et de la colère...

Zirria se déplaça en arrière de Dreyan, inquiète par le ton qu'il prenait. Par contre, elle fut rassurée par l'air calme qu'avait gardé le si merveilleux musicien. Elle attendit sa réponse, en espérant pour qu'ils rêglent leur problème sans avoir recour au language des armes.

Eralanth déposa sa harpe et s'approcha de l'elfe qui posait sa main sur son sabre. Il fouilla dans sa poche et sortie de celle-ci un petit médaillon ouvragé.
Il tendit l'objet à l'elfe:
-Je crois que cela vous appartient.

Il posa l'objet dans la main de l'elfe et tira une chaise puis s'assied.
-Assied-toi, nous avons des choses à nous dire.

Dreyan regarda l'objet que l'inconnu avais posé dans sa main; il le bouleversait.

-Mais!! c'est...c'est ..le medaillon de ma mere!!
Où l'avez vous trouvé? Où?
Pardon, j'oubliais que vous m'aviez posé une question le premier.
Effectivement, il me semble que j'ai des choses a vous raconter puisque vous etent entré en possession de ce medaillon et que vous me le restituez. Mais s'il vous plais écartons nous, je n'ai pas envie que toute la ville connaisse mon histoire.

Dreyan entraina Zirria et le harpiste à l'écart et commença a leur raconter l'histoire de la perte de sa famille.
-... et me voila maintenant a raconter mon histoire a un inconnu et une jeune fille que je connais a peine tout en m'apitoyant sur mon sort comme unenfant pleurnichard.
maintenant que vous avez entendu ce que vous vouliez savoir dites moi a votre tour où vous avez trouvé ce bijoux.

*- c'est bon Yrkshys, fausse alerte.
-je sais petit homme tu oublie que je partage la moindre de tes pensées.
-petit homme? oublierai tu toi, que je suis le plus agé d'entre nous.
-vu tes réactions, il y as des fois ou je l'oublie il est vrai, lui confessa le dragon.
-merci du commentaire.

À la fin du récit, Zirria baissa la tête. Quelle triste histoire! Elle était franchement désolée pour l'homme qu'elle considait déjà comme un nouvel ami. Malgré sa solitude, elle n'avait jamais vraiment connu la souffrance. Quel sentiment terrible doit être celui de trouver un object ayant appartenu à sa propre mère, assasinée par de répugnants gobelins. Elle frisonna. C'était presque mieux de ne l'avoir presque jamais connue.
Zirria ne trouva rien de mieux à faire que de poser sa main pâle sur le bras du dragonnier et de lui dire;
-Je suis très attristée pour votre malheur. N'ayez pas honte de votre peine.

Puis, elle laissa les deux hommes continuer leur discussion.

Eralanth écouta attentivement le récit de l'elfe. Puis il commença son récit:
-J'était en train de survoler la forêt quand j'ai aperçu un petit village en ruine que me paru familier. Je fit descendre mon dragon et lui demanda de me poser dans une clairière avoisinant le village. Je mit pied à terre et entra dans un cercle d'habitation carboniser envahi par les herbes folles. Des squelettes d'elfes et de gobelins gisaient. C'était le village où j'avais passé mon enfance. Il avait été entièrement dévaster pas les gobelins. D'un pas rapide je me dirigeais vers la maison de mes parents et découvrit avec horreur les squelettes de mes parents entourés de nombreux gobelins. Sur l'un des gobelins j'ai trouvé ce médaillon t'appartenant.

Dreyan étais pensif:
-Ainsi, ce n'étais pas une petite bande de pillards anodine puisqu'ils ont détruit plusieurs villages à la suite. Bien merci. Je rempli pour l'instant une mission pour le grand pere de cette fille , fit il en désignant Zirria, mais ensuite, je vous propose de nous mettre a la poursuite de cette bande. En attendant , vous pourriez vous joindre à nous. Mais vous connaissez mon nom et moi pas le votre quel est il?

L'elfe esquissa un sourire.

-Je suis Eralanth Shirae, dragonnier. Je vous propose de partir dès maintenant.

Il se leva et se dirigea vers le comptoir.

-Aubergiste je ne resterai pas comme prévu le devoir m'appelle.
Il sortit de la l'auberge et attendit patiemment dans la rue. Le chantre sortie sa harpe et gratta les cordes. Une ombre gigantesque cacha la lune. C'était Kuyrf le dragon d'Eralanth.

Encore assise, Zirria caressa pensivement les fines décoration argentées du peaumeau de son épée à sa ceinture. La guerre... Ce mot lui déplaisait. Mais pourtant...
-Ils méritent d'être punis! Vous avez raison., murmura-t-elle.
Puis, elle se leva vivement et sans attendre, elle se dirigea vers l'escalier qui menait à l'étage du dessus, où se trouvait assurément les chambres. Malgré la gravité de la situation, elle ne put s'empêcher de sourire en pensant:
« Deux dragonniers dans la même journée. C'est quand-même... spécial! »

Arrivée en haut, elle se trouva à l'extrémité d'un corridor bordée par une bonne douzaines de portes. La quelle était la bonne? elle n'avait pas osé le demander à l'aubergiste, car si Elkirien était recherché par les gardes, il y avait de fortes chances qu'il aille employé un faux nom.

*-Yrkshis, peux tu dire à l'elfe qui vient de sortir que je transmet mon message et que je le rejoint a la porte d'ici une heure ou deux ?
merci
-de rien. en plus d'etre transporteur me voila postier.*
Yrkshys transmit le message.

Un dragon vint voler au dessus d'Eralanth et lui dit par la penser:

-Mon maître se joindra à toi d'ici une ou deux heure aux portes de la cité des elfes.
-Sans aucun problème, dit l'elfe en frottant les cordes de sa harpe.
Un dragon noir vint se poser dans la rue, effrayant les quelques elfes ou humains errant encore dans les rues sombres à peine éclairées par les rayons de lune traversant les nuages. Le Harpiste enfourcha sa gigantesque monture et décolla.
*Vers les grandes portes de la ville* dit-il à Kuyrf.

Le dragon s'exécuta. Il se posa dans une petite clairière près des portes. Une brise légère vint soulever les cheveux fins de l'elfe quand il descendait du dragon. Le chantre se dirigea vers les portes où il attendit l'arrivé de dreyan.

Dreyan songea que le fameux destinataire devais lui avoir donné son nom d'emprunt plutot que son vrai nom pour qu'il lui soit plus facile de le trouver. Aussi, s'approcha t il de l'aubergiste.

- Aubergiste, ne loueriez vous pas une chambre à un certain Elkirien?
-cela fait beaucoup de personnes qui en cherchent d'autres aujourd'hui. Mais oui, je l'héberge c'est la porte au fond du couloir à droite. Pour le moment, il n'est pas là car il cherche des flèches en ville mais il devrai rentrer d'ici un quart d'heure.
-Eh bien merci je vais l'attendre ici pendant ce temps n'auriez vous pas une biere s'il vous plait?
-Mais bien sur que si. l'aubergiste parti chercher la biere commandée. Et voila, 2 pieces d'argent.
Dreyan regla sa consommation.

Une vingtaine de minutes plus tard, un elfe portant un arc de superbe facture, une cape rouge flamboyant et des bottes de cuir rentra dans l'auberge.

-Elkirien ? lança discrètement Dreyan lorsque l'individu passait pres de lui.
l'elfe se retourna brusquement vers lui en faisant glisser un poignard dans sa main.
-Calmez vous, je suis la pour vous transmettre un message qui vous permettra de ne pas vous faire assassiner. C'est de la part d'un vieil ami qui a pris a votre place.
Elkirien vira au blanc.
-D..D'accord mais montons dans ma chambre, je ne tiens pas a ce que ce soit ébruité. Aucun problème, je vous suis.
Les deux Elfes monterent dans la chambre.
-Zirria viens voir je pense que tu pourras apprendre quelque chose.

Zirria avait attendue plus ou moins patiemment dans le petit couloir. Quand elle vit les deux Elfes venir dans sa direction, elle se raidit. Il n’avait pas changé d’une miette. Mais il semblait un peu inquiet. Malgré, la jeune fille était heureuse que le dragonnier avait plus eu de suces qu’elle pour retrouver Elkirien. Elle accourut vers eux.
En la voyant, celui qu’ils avaient cherché s’arrêta de surprise. Puis, avec un petit sourire ironique, il lui dit :
-Ah, Zirria… Tu es bien différente que la dernière fois que je t’ai vue…
Elle ne répondit rien, troublée par ces vieux souvenirs et se contenta de regarder par terre. Il poursuivit d’un air plutôt neutre même si son ton était légèrement soucieux.
-C’est ton grand-père qui t’as envoyé?
-Non, s’empressa-t-elle de répondre. Certainement pas.
Le rouleau toujours dans les mains, elle regarda nerveusement Dreyan pour savoir si elle devait le lui donner.

Hésitante, Zirria tendit le parchemin de son grand-père à l'Elfe qui le prit rapidement. Il le lit en vitesse. Il se ressaisit, et son visage devin imbassable.
- Vous l'avez lu, non...? , demanda-il.
-Non! Enfin, oui.., répondit Zirria.
Elkirien regarda à tour de rôle Zirria et Dreyan. La première ne semblait pas du tout dangeureuse. Un peu enfantine. Mais l'autre, par contre, qui semblait un peu plus méfiant en avait l'air un peu plus. Il ignorait si ses intentions étaient bonnes.

Au premier étage de l'auberge, il eut de l'agitation. Une patrouille de garde vêtus de brillantes armures entra soudainement. Ils regardaient partout, et semblaient chercher quelque chose. Les clients de l'établissement, inquiets étaient nerveux. Celui qui semblait être le capitaine héla l'aubergiste, et lui demanda d'un air entendu:
-Est-il arrivé?
Agité, l'homme regardait ses grosses mains. Il n'aimait pas les gardes, il déragnaient ses clients, mais il n'avait pas de choix autre que de leur répondre.
-Euh, oui. Il est arrivé. Mais ne dérangez pas les...
L'officier ne lui laissa pas le temps de répondre, il se dirigeait bruyamant dans les escaliers avec environs cinq soldats.

Dreyan, alerté par les bruits de voix soudain plus nombreux et un martelement de bottes jeta un oeil dans le couloir, il rejeta brutalement la tête en arriere : 6 gardes arrivaient à l'étage.

-Elkirein, vous avez été suivi! les gardes arrivent et pas dans de bonnes intentions. Il n'y en as pas a l'exterieur, ouvrez la fenêtre et montez sur le dos du Dragon qui arrivera. Zirria, suis le.

*-Yrkshys!! viens a la fenetre ouverte et prneds la jeune fille et l'autre, des gardes arrivent, je les retiens.
-D'accord.*

Le dragon descendit, majestueux dans toute sa noirceur étincelante.
Elkirien sauta et se reçut souplement sur ce dernier. Zirria eu un peu plus de mal mais Yrkshys l'aida de la patte. pendant ce temps Dreyan barricadait la porte avec des meubles.

-Ouvrez la porte c'est un ordre!

Ne recevant pas de réponse les gardes entreprirent d'enfoncer l'huis. Un coup deux coups trois coup, Au quatrième, les fragiles planches de bois cédèrent. Les gardes entrèrent dans l'unique piece.
L'elfe les attendais le sabre sortit.
-rends toi!
-peut être si vous savez être convaincant, répliqua du tac au tac le guerrier.
-Ou est l'autre, et la fille?
apres 2 secondes Dreyan répondit:
-S'il ne sont pas la c'est qu'ils se sont envolés. Sans laisser le temps a l'homme de répliquer, il enchaina, Mais il n'y as que vous qui parlez peut être vos hommes sont ils muets ou tremblent ils en invoquant leur mère.
La pique fit mouche, les gardes se ruèrent sur lui.
Dreyan para un premier coup puis enroulant son épée autour de celle de son adversaire, il l'envoya se planter dans une poutre. Se baissant pour esquiver un coup latéral, il passa entre les jambes d'un garde et le poussa vers la porte. Le garde trébucha sur les débris de meuble et s'assoma.
L'elfe se retourna en donnant un coup en diagonal, tranchant dans un armure et éraflant la chaire, il continua en dannant un coup dans la tempe du garde précedemment désarmé qui revenait a la charge et se glissa derriere le chef des cinq.

-On s'arrete de bouger ou il fandra caler sa tête lors de son enterrement prevint le jeune guerrier en prenant en otage l'homme.

Il recula jusqua la fenetre, monta dessus et projetant le garde dans la pièce sauta sur le dos d'Yrkshys qui s'envola.

-Yrksyis, on retrouve Eralanth et on s'en va , j'ai beau avoir limité les dégats, ils risquent de m'en vouloir pour un moment.

Elkirien sauta sur le puissant dragon. Il dut se cramponner pour ne pas tomber dans le vide de plus en plus bas sous eux. Zirria aussi! Elle espérait que le dragon ne trouve pas sa charge trop lourde. En arrière d'eux, elle entendait des exclamations de surprise. Non pas parce qu'un dragon noir soit si rare, mais parce que quelques-uns avait vu les fuyards filer devan les gardes.
-Ils se sont sauvés! Il faut les attraper!, entendit-elle en dernier.
Comme des criminels, il faudrait qu'ils se sauve au plus vite. Elle se doutait que l'armée de la ville soit aussi rapide que futé. Zirria se sentait nerveuse, mais en même temps, ce surplus d'adrénaline ne lui déplaisait pas! Elle se retint de pouffer de rire en immaginnant l'expression de son grand-père si il la voyait!

Durant le vol, Elkirien resta plutôt silencieux. Il fixait le néant d'un air songeur. Zirria le vit, mais n'osait pas lui adresser la parole, ne l'ayant jamais porté dans son coeur.

En survolant les portes de la ville, Zirria vit l'autre dragonnier. Oups, qu'allait-il dire quand il saura qu'ils étaient dans la m*** ? (Mais cela, Zirria ne le pensa pas exactement, les Elfes étants beaucoup plus soigné dans leur language...)

L'elfe était tranquilement installé sur une souche quand il vit un dragon chevauché par un elfe qu'il ne connaissait pas et la jeune Zirria qu'il avait rencontré à la taverne quelque temps plus tôt et le dragonnier dreyan.
Vif et agile il aggripa sa harpe et gratouilla légèrement les cordes. Une ombre cacha l'éclatante lumière de la lune. Un dragon massive vint se poser devant le chantre .
*Kuyrf prend moi sur ton dos et suis ce dragon, devant toi.*
*Petite homme dans quelle pétrain vas-tu encore nous fourer.*
* Ce n'est qu'Éphémère tu retrouvera bietôt ta libertés je te le promet.*

Il s'envola. Ils rattrapèrent assez rapidemant les deux elfes.
Eralanth hurla:
-Que s'est t'il passez, pourquoi fuyez vous sans raison?

-Sans raisons? avec bientôt toute la garnison à nos trousses? tu rigole?!suis nous nous allons nous poser dans la forêt.

Yrkshys filait, flèche de jaspe sur ciel de saphir survolant une mer d'émeraudes.