Suite de "Halte à la lisière de la forêt"

Hait'nir n'avait aps lâché l'humain du regard, mais quelque chose clochait...Il ne semblait plus pareil comme si... Le dragon écarquilla les yeux...Il sonda l'esprit de l'humain gémissant étendut à terre, le mage s'était échappé grâce à un sort de substitution. Hait'nir leva la tête poussa un rugissement de rage strident plus envers lui-même qu'autre chose. Les animaux qui n'avaient pas encore détalé devant les flammes furent soudain prit d'une irrépressible envie de prendre la fuite. Le dragon cessa et ses yeux revinrent sur le corps rendu aveugle, un sentiment de culpabillité l'envahit, il venait de blesser un innocent parcequ'il avait sous estimer son adversaire, et parcequ'il s'était laissé emporté. Mais plus encore, il se rendit que ce mage était un véritable monstre. Il avait laissé un innocent prendre sa place et subir le châtiment qui lui était réservé, et surement sans aucun état d'âme...
L'homme allait mourrir à force de perdre son sang, il était devenu blanc comme la neige et s'apprêtait à tomber dans un comas qui s'achèverait par la mort. Sa bouche était ouverte dans uen expression d'éternelle incompréhesion. Une larme roula le long de la joue du cristallin, les éclats des flammes se refletèrent dedans alors qu'elle tombait sur le tapis d'herbe...

*Met fin à ses souffrances Maxas, et rattrapons le lâche qui a osé faire ça*

Le guerrier acquiesça, il planta son épée dans le coeur de l'homme, et monta sur le saurien. Hait'nir suivit la piste de la monture, son maître aurait certainement besoin d'elle. Cela ne fut pas compliqué, les traces de sang le guidèrent sans difficultés jusqu'a la lisière de la forêt...

HRP: La flegme pour la fin ^^

Pendant que Fletha montait en flèche vers le ciel noir et vers l’air libre, tout en tentant de garder son équilibre pour ne pas tomber, Roag blottissait le petit corps inconscient de Nyant sur sa poitrine. Son cœur battait fort à cause du manque d’oxygène, de la vitesse fulgurante du dragon d’or et de la peur récente de perdre le dragonneau. Quand Fletha se rétablis en haut du nuage noir de fumé, l’assassin put respirer normalement, même encore secoué. Estarah se tourna vers lui, inquiète de l’état de jeune dragon. Roag secoua la tête pour chasser une mèche de ses longs cheveux collé par la sueur sur son front noir de suie. Il offrit un sourire franc à l’Elfe. Son foulard masquait toujours sa bouche, mais ses yeux azurs trahissaient sa joie.

-Il va bien. Son cœur bat normalement, il est juste inconscient, lança-t-il heureux.

Ils avaient enfin quitté cet infernal brasier. Mais autre chose sema l’inquiétude dans son esprit. Maxas et Flaar avaient eux aussi disparus. Et le dragon de crystal qui ne pouvait pas s’envoler! Avait-ils été piégé par le mystérieux homme qui était venu leur prendre le loup, qui pouvait peut-être Narek ? Roag fronça les sourcils, mais n’en parla pas, ignorant ce que Fletha et sa dragonnière avaient en tête. En l’espace d’une seconde, il regrettait de ne pas être au centre de l’action, se battant au milieu des flammes, mais il chassa bien vite cette réflexion.

Alors qu'Hait'nir remontait la piste du cheval a toutes vitesse, Maxas repensa a l'homme qu'il avait achevé.Certes, il avait déja abrégé les souffrances de compagnons d'armes, mais ceux-ci s'étaient toujours portés volontaires pour le combats qui avaient entrainés leurs morts, ils connaissaient les risques...L'homme de la clairiere lui, n'avait pas choisit, et pour cet acte atroce de plus, Maxas allait faire payer cet étrange mage...

C'est dans cet état d'ésprit que lui et le saurien remarquerent le changement de végétation, ou plutot sa disparition:la terre était désolé, le ciel s'assombrissait...

*Je penses que nous somes sur les Terres de l'Ombres*

*Pas étonnant qu'un etre aussi vil comme ce mage se plaise a y vivre...*

Ils continuerent d'avancer puis au bout de quelques minutes, des constructions leurs apparurent au loin

*On dirait ...une sorte de chateau*

Ou ce qu'il en reste*

*Atand un peu...C'est le mage las bas! plus vite Hait'nir!*

Dans une montée d'adrénaline , le cristallin redoubla l'allure, les ruines se raprochant de plus en plus

*Ces ruines... j'ai l'impression d'etre déja venu ici....*

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Le dragon d'Or s'éleva au dessus du braisier, puis il contacta sa dragonnière.

* Les Terres de l'Ombre sont derrière la forêt...*

L'Elfe fit part de ceci à Roag, puis Flehta fila vers l'orée du bois qui était opposée. quand ils eurent suvolé les bois, une lueur cristalline attira l'attention du dragon. Hait'nir ! Accélérant, le saurien fila vers leurs amis, fonçant en piquée comme un aigle. Il les rattrappa en quelques minutes. Un ciel sombre recouvrait maintenant le paysage. Soudain, le dragon d'or tenta de communiquer une précaution au cristallin : les drows rôdaient souvent par ici ! Alors que les éclairs commençaient à zébrer le ciel, Estarah s'écria :

"Ce n'est pas un orage ordinaire, nous nous approchons d'un endroit qui retient une magie très puissante !"

Les ruines d'un chateau sévisaient au centre de la tempête. Maxas et Hait'nir fonçaient droit dessus. Le dragon plongea, quand un éclair lui coupa la route. Il vira brusquement, manquant de faire tomber ses cavaliers, et poussa un gémissement retentissant quand la foudre lui brûla l'aile droite, formant un trou sur le côté. Il tenta de remonter mais son aile ruisselante de pluie et de sang ne le portait plus. Ils allaient s'écraser. Le sol s'approchait à grande vitesse...

Merde, merde et re-merde… Sur ce coup là, il n’avait pas assuré ! Mais alors pas du tout !
L’homme se plaqua contre un mur, regardant la pluie ruisselée le long de la pierre autre fois richement décorées de tapisserie et d’arme d’apparat.
Il reprenait son souffle tant bien que mal, réfléchissant à toute vitesse, calculent ses chances de survie. Il avait des ennemis de taille, deux dragons, dont un probablement issue du monde des dragons…un guerrier manient l’arc et au moins deux autres humanoïdes, dont il ne savait pas grand chose…Il était vraiment mal.
En plus, Estride, son cheval, avait disparut estiment probablement qu’il valait mieux prendre de la distance avec ce qui allait ce passer. Et cet orage qui avait éclaté sans qu’il puisse s’expliquer pourquoi…
L’homme se passa nerveusement la main dans les cheveux, ces yeux rouillent dans les ténèbres.
Avec le petit groupe de la forêt, il y aurait probablement moyen de s’entendre, de négocier gentiment a condition que ce ne soit pas le cristallin qui le trouve en premier il y avait sûrement un terrain d’entente, après tout il ne leur voulait pas vraiment de mal. Ce qui l’inquiétait plus par contre, était que la métamorphe avait échappé a son contrôle et qu’elle, par contre ne chercherait même pas a l’écouté surtout que maintenant, par, il ne savait qu’elle miracle, elle avait retrouvé sa forme originelle, ce qui, il fallait bien le dire était assez inquiétant.
Des pas lourds dans les restes du couloir adjacent interrompirent momentanément le fil de ses pensées, tout son être ce raidi et sans un bruit il se laissa glissé au sol. Bientôt, par l’ouverture d’un soupirail, il aperçut l’ombre de la dragonne. Il ne respirait plus, serrant dans sa main droite le pendentif qui rendait son esprit inaccessible au dragon, l’empêchant ainsi de le repéré. Dans son malheur il avait de la chance, l’orage troublait les odeurs, elle n’avait donc aucun moyen de le retrouvé, autre que sa vue. Un éclair zébra le ciel, illuminant un bref instant les ruines de l’ancienne citée. La dragonne se tenait là, la tête au ras du sol, flairent en vain les odeurs sur le sol détrempé. Ses écailles immaculées étaient ornées a divers endroit de symbole runique de couleur noir, ainsi que de nombreux symbole tribal au caractère sacré qu’il n’avait jamais vu. De plus, la dragonne n’avait pas vraiment l’aire très engageante, les crocs découvert, et les deux disques dorés de ses yeux luisait étrangement.

Tak’rïn, arpentait les ruines méticuleusement, elle sentait le sang batte dans ses tempes mais la colère avait disparue lavée par les larmes du ciel. Maintenant elle jouait, cherchant avec application ce qui était devenu sa proie. Elle n’avait faim que de vengeance mais n’était pas presser, elle savait que tôt ou tard elle jouerait avec le cadavre de l’homme. La pluie ruisselait sur ses écailles, glissait sur les plumes de ses ailles et se sa crête, dégringolait de ses cornes pour aller embrassé les écailles de ses joues. Elle se sentait bien…étrangement bien même. Elle était épuisée mais sereine. Elle avait repéré ses compagnons, mais se gardait bien de les rejoindre, elle ne voulait pas se présenter à eu sous sa forme originelle, et s’adonnait donc a son passe temps favori : La chasse.
Peut être même chasserait-elle autre chose que l’humain… La dragonne attrapa un pant du mur le plus proche et le broya entre ses mâchoires, elle fut heureuse de constaté de la pierre ne lui résistait pas, elle n’avait rien perdu de ses aptitudes…tant mieux, cela rentrerait la traque intéressante.

Maxas, montant hait'nir, continuait de s'avancer vers les ruines.Un éclair zébra le ciel, déssinant une ombre géante dans les ruines

-Hait'nir! tu a vu ce que j'ai vu?"

*Probablement une ancienne statue, si ce n'est pas le cas, alors nous allons au devant d'ennuis"

-Qu'importe, si c'est encore un tour de ce mage, nous le vaincrons!

*Ne soit pas trop impulsif, moia aussi je veux le cadavre de cet homme, mais nous ferions mieux d'attendre les autres, si c'est un dragon, dans l'état ou nous sommes nous n'avons que peu de chances face a lui...*

Malgré ces bonnes paroles, Hait'nir ne rêvait que d'une chose, mettre le grappin sur ce poltron de mage et lui faire manger sa robe ! Mais pour l'instant il était forcé de ronger son frein et de frèner ses ardeurs car si effectivement un dragon se trouvait avec lui, il lui faudrait être sur ses gardes.
Il ne s'était jamais battu contre un de ses semblables. Plus jeune, il s'était échauffer plusieurs fois contre des têtes brûlées dont les remarques étaient parvenues à dépasser les bornes du supportable...Mais cela n'était rien d'autre que de petites bagrres desquelles on ne ressortait qu'avec quelques entailles, des brûlures et de nombreux hématomes, mais aucune vie en danger... Là c'était différent, si l'ombre qu'il avait aperçu était bien celle d'un dragon, et si ce dernier était du côté du mage, le combat serait sans doute un duel à mort.

Secouant la tête, Hait'nir chassa ses craintes, il ne s'était jamais beaucoup inquiété de ce que lui réservait l'avenir, pourquoi commencerait-il aujourd'hui ?
Restant tout de même sur ses gardes, Hait'nir pénétra dans les ruines. Au premier coup d'oeil, on pouvait constater que la destruction de l'édifice n'était pas si ancienne, il n'y avait que très peu de végétation, et les tentures et autres bandes de tissus, bien que rongés par les mites et recouvertes d'une épaisse couche de poussière, se trouvaient encore dans un état convenable. Hait'nir se coucha, tous les sens aux aguets. Au fond de lui il naquit une sensation qui lui était familière. C'était comme un retour en enfance, lorsqu'il jouait à cache-cache avec ses frères entres les rochers escarpés des montagnes natales. A cette époque, on mordait ceux qui étaient repérés trop vite, pour leur apprendre. Un sourire carnassier étira les babines et dévoilà les crocs aiguisés. Un petit sifflement aigue suivit l'apparition des longues griffes rétractiles. Une nouvelle partie venait de commencer, mais celui qui serait repérés n'allait pas être mordu...

Maxas sentit la joie bestiale de hait'nir...elle commenca également a l'encahir, mais il réussit néamoin a ne aps se laisser aveuglé par sa haine.

-Oui Hait'nir, il sera a toi, mais laisse moi lui aprler avant, je en dit pas pour autant que tu dois le laisser indemne...juste qu'il doit pouvoir écouter et me répondre...Mais je t'en supli, nous devons attendre les autres!

Néanmoin, maxas sentai la rage se propager...

*Pourvu que les autres arrivent, et vite!*

Roag se réveilla dans la boue. Il avait mal partout. L’atterrissage en catastrophe l’avait fait perdre connaissance quelques secondes, le choc avait été terrible. Mais il dut conclure que le ciel l’avait protégé. Il n’avait rien de cassé, après une douloureuse analyse de ses fonctions. Roag se redressa tant bien que mal à quatre pattes et regarda autour de lui. Il avait été projette assez loin, car il n’aperçut pas tout de suite ses autres compagnons. Une grande masse se dessina à travers les ombres et la pluie, à quelques dizaines de mètres de lui. Si on se fiait aux traces profondes que le dragon avait laissé dans écrasement entre les ruines lugubres de l’ancienne citadelle et la forêt sombre, on en déduisait que l’atterrissage avait du être pénible… L’assassin se releva en grimaçant. Si le ciel l’avait épargné de blessures graves, il ne se retrouvait pas moins avec plusieurs courbatures, ecchymoses, coupures et écorchures. Le haut de son bras droit était tout éraflé, et il saignait. Mais Roag ne porta pas attention à ces égratignures, et se mit à courir en chancelant vers la forme du dragon. Il essuya d’un revers de la main du sang mélangé à de la boue et de l’eau de pluie coulait se sa joue pendant qu’il arriva près de ses compagnons.

-Estarah? Nyant? Flatha?, cria-t-il pour couvrir les bruits de l’orage pendant qu’il espérait revoir des amis en un seul morceau.

Il se risqua à jeter un coup d’œil vers les ruines toutes proches. Il souhaitait que le mage n’attende pas d’autres renforts ici… dès qu’il aurait trouvé les autres, il irait donner un coup de main à Hait’nir et à Maxas.

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Flehta poussa un gémissement quand il heurta la terre. Son aile craqua, et il projeta sans le vouloir les autres plus loin. Nyant disparut de son regard, bien que la silhouette d'Estarah se découpait toujours sous la pluie battante. Un cri retentit. Il paraissait loin et proche à la fois. Le dragon haleta, et se releva en éclaboussant le sol de boue et de sang. L'Elfe se releva et se blottit contre son dragon. Ce dernier vacilla et s'écroula dans la boue. Elle poussa un cri, quand une douleur horrible se fit ressentir dans son esprit. Son âme semblait se couper en deux ! Flehta déperrissait. Elle marcha à tâton, aveuglée par la douleur et toucha une patte écailleuse. Elle leva les yeux et, dans un ultime effort, grimpa sur sur le dos ensanglanté du reptile, avant de s'écrouler. Allait-t-elle se relever un jour.... Elle entendait Nyant qui criait sous elle, puis plus rien.....

Nyant pouss un cri en voyant l'Elfe et son dragon ensanglanté. Une silhouette se découpa dans l'averse.

*ROAG !! ROAG !!!!" hurla le petit dragon.

Il sauta sur l'homme, menaçant de la déséquilibrer. Il secoua sa tête boueuse et s'épommona de nouveau, afin d'être sur d'être entendu.

*Flehta va mouriri ! Estarah aussi ! A l'aide ! Ils vont mourir !*

La panique s'emparait de son petit corps. La mort. Jamais il n'avait connu cela, ni pour lui, ni pour ses proches, et la détresse qu'il ressentait à présent lui en donnait un aprçut...

Maxas entendit un bruit étrange, commeun craquement de branches

"Hait'nir, tu as entendu?

*Cela vient du Nord"

-Dans ce cas il faut allez voir, ce n'est peut etre rien, mais j'ai comme un mauvais préssentiment...

HRP//désolé de faire si court mais je suis pas tres inspiré

Nyant sauta dans les bras de l’assassin en éveillant une douleur atroce dans à peu près tout son corps. Gentiment, il déposa le dragonneau par terre, prit une ou deux secondes pour retrouver tous ses esprits, et prit finalement conscience du poids des paroles du petit dragon affolé. C’était ce qu’il avait redouté. Il fixa Nyant de ses yeux bleus en amande, gravement. Il ne savait que faire. Qu’allaient-ils faire si jamais les autres mourraient? Roag leva la tête, comme sortie d’une torpeur paniquée et accourut vers les corps inconscients de ses amis. Il arriva face à une petite falaise d’écailles d’or; le dos de Fletha, baignant dans une flaque de boue teinté de rouge. Mais à cause de la noirceur de la nuit, Roag ne put le certifier, et détourna la tête en espérant que se n’était que son imagination qui lui jouait des tours. Le grand dragon semblait plus que mal en point, mais Roag remarquait ses flancs se soulever au rythme d’une respiration irrégulière. Il y avait peut-être de l’espoir.

-Mais où est Estarah?, dit nerveusement l’homme en regardant autour d’eux.

*Elle est là! Sur Fletha! Elle est…. Est…. *

Sans attendre, Roag entreprit d’«escalader» le plus délicatement possible le dragon pour rejoindre l’Elfe blessée. Il la prit dans ses bras, dégagea son visage, vérifia sa respiration.

-Estarah. Estarah, répondez-moi.

Comme il regrettait de ne pas connaître d’herbes ou de potion de guérison! Seul, il ne pouvait absolument rien faire. Mais… Hait’nir et Maxas n’étaient sûrement pas loin! Roag fouilla dans la doublure de sa cape et ressortit un pétard éclairant, le dernier qui n’était pas trempé par la pluie. Il l’alluma à l’aide d’une étincelle créée en frappant avec la rage du désespoir dur son allume-feu. Avec un bruit d’explosion, un éclair rouge s’éleva dans l’orage, au-dessus d’eux

-HAITN’IR! MAXAS! NOUS AVONS BESOIN D’AIDE!

Alors que Maxas, chevauchant Hait'nir, filaient vers le lieu du crash du doré (bien qu'ils ne le savaient pas encore), Maxas apercut une lumiere et entendit un cri au loin, mais ses sens d'humains, bien qu'aiguisés, ne lui permirent pas de le comprendre

-Hait'nir! as- tu comprit ce cri?

*Oui..hélas...C'est Roag qui qui hurle nos noms, il semble paniqué...

-Accelere! il faut le rejoindre a tous pris dans ce cas!

Le cristallin accélera tellement l'allure que Maxas eut l'impression de chevaucher le vent, au bout de quelques minutes seulement , la course se transformait en petit trot a l'aproche de la amsse doré de Fletha.Maxas sauta des que hait'nir fut pres du doré.

-Non.. souffla-t-il, pusi il se tourna vers l'assassin

-Roag! que s'est-il passé?

Mais comme il disait cela tout en escaldant Fletha, il se figea devant le corps inconcsient d'Estarah que tenait Roag dans ses bras

-Non! Estarah!

Il se rua sur elle, Roag s'écartant, tant par respect que apr craintre d'etre renvérsé
Maxas la serra dans ses bras, une larme coula meme le long de sa joue...

-Ne meurt aps je t"en prit...

Puis il releva la tete et cria a l'attention de Hait'nir

-Comment va Fletha? Par pitié, dit moi que tu peux quelquechose pour eux!

Habitant Nombre de messages : 241 Age : 28 Date d'inscription : 09/09/2007

L'Elfe sombra dans une profonde transe.
Elle revit son enfance,...son père....la guerre....puis Flehta....Et Maxas...Hait'nir...Roag...Nyant..Tous ceux qu'ils l'avaient aidé....Elle n'avait jamais dit à Maxas qu'elle l'aimait....Et Roag...D'où venait-il?.....Il avait tant fait pour eux...L'avait-t-elle remercié....
Une larme coula sur la joue brûlante de l'Elfe. Elle reprit conscience, quelques instants. Elle vit Maxas, penché sur elle. Ses yeux d'émeraude le fixèrent un instant, puis elle murmura :

"Merci...beaucoup......"

Et son corps redevint inerte. Peu à peu, elle blêmit. La couleur quittait sa peau comme la sang qui coulait de Flehta. Comme la vie, qui s'échappai...

Tandis que Maxas rejoignait Estarah, Hait'nir s'était laissé tombé au sol. Les yeux dans le vague, il se laissait envahir par le désespoir et la tristesse. Il ne pouvait rien faire, rien, une fois encore, ses amis allaient mourir et à nouveau il ne pouvait rien faire, un cri lui vint du plus profond de son être, exprimant toute sa rage envers cette terre maudite, envers ce mage couard et surtout envers lui-même. Il leva la tête, des gouttes tombèrent au sol, petites perles de cristal, concrétisant sa tristesse. Un rugissement aux multiples échos s'élança vers les Hauteurs, défiant les sombres nuées. Les yeux translucides du dragon s'assombrirent, diamant noirs luisants au milieu des larmes cristallines. Le cri se mut en un hululement aigu, irréel, mélodie envoûtante, implorante, ultime tentative, appel désespéré dans lequel Hait'nir déversa toute sa détresse ainsi que celle de son dragonnier. La tempête sembla se calmer pendant un instant, le vent s'essouffla, la pluie cessa, compatissante. Cela dura plusieurs instants, lorsque le dragon perçut une perturbation magique de forte importance, il sentit une nouvelle présence proche d'eux...

Méfalar ne savait plus où il était, mais il luttait, luttait, non pas pour reprendre ses esprits comme il en avait l'habitude, mais pour percer le secret des deux parties qui l'habitait. Les deux consciences fusionnées lui opposaient une farouche résistance. Il parvint pourtant à prendre progressivement l'avantage. La double-voix résonna dans son esprit.

*Asser, où nous allons, tu auras tes réponses, il n'est pas encore temps...*

Bien qu'il n'ait pas repris le contrôle de son enveloppe charnelle, il sentit un flux magique important, un choc psychique perturba leur combat, Blanche et Noire se séparèrent et battirent en retraite dans les tréfonds de son esprit. Méfalar, brusquement redevenu maître de son corps, trébucha et tomba à terre. Il sentit, au contact froid et humide de la boue, qu'il s'était téléporté. Il se releva et examina les alentours. Il se trouvait dans les ruines de ce qui avait dut être une citadelle fortifiée. Le bourdonnement qui avait suivit la translocation et la reprise de conscience avait laissé place à un hululement aigu. Méfalar crut tout d'abord qu'il s'agissait d'un autre effet secondaire mais il se rendit compte que le son était bien réel. Ce cri réveillait en lui la Noire, qui s'agitait de plus en plus à chaque accent de la sinistre mélopée. De crainte de perdre à nouveau le contrôle, Méfalar songea d'abord à s'éloigner de là, ce fut alors au tour de la Blanche de se manifester, elle voulait aider la créature qui émettait ce si triste son. Se demandant s'il était réellement le maître de son corps, l'hybride se dirigea vers la source du hululement. Il fit quelques pas et au détour d'un bâtiment découvrit l'auteur de cet "appel", aussitôt celui-ci cessa...

Hait'nir se tut lorsqu'il sentit que la présence se rapprochait, il se releva et tourna la tête vers le nouvel arrivant. Quelque chose dans sa présence psychique laissait à penser que cet être n'était pas forcément animé des meilleures intentions. Hait'nir eut du mal à croire ce qu'il vit...

(Vous êtes pas obligé de répondre, je finirais plus tard ^^, pour ce qui est de la raison de la présence de mon elfe/drow ici, la téléportation était censé le mené au cœur de cette même citadelle, mais le cri d'Hait'nir à attirer la partie sombre et a changé le point d'arrivée...)

Une étrange créature avançait vers eux, il s'agissait à priori d'un elfe, à la grâce de ses mouvements et a ses oreilles effilées. Mais, à la lumière d'un éclair, le dragons fut le témoin d'une chose pas ordinaire, la peau de cet inconnu était partagée en de complexes arabesques noires et blanches et ses yeux, l'un vert éclatant de vie et de bienveillance, l'autre dont la couleur écarlate n'avait d'égale que le flamboiement maléfique dont il était animé. Hait'nir montra les crocs dans un premier temps, mais très vite il se ravisa car il désespérait de trouver une solution et au fin fond de ce double regard, quelque chose le rassurait et atténuait l'ambivalence des deux prunelles polychromes. Il l'apostropha en essayant de contrôler sa vois, mais le trop grand désir de sauver Estarah et Flehta la fit trembler légèrement

*Serais-tu capable de venir en aide à nos amis ?*

Méfalar fut surpris par la question très directe et le ton plein d'espoir avec lequel elle avait été posée. En songeant à aider les personnes dont parlais ce nouveau dragon, l'hybride fut de nouveau étonné de constater que ses consciences étaient parfaitement d'accord. Il acquiesça d'un hochement de tête et se dirigea vers les corps du dragon d'or et de l'elfe que lui désigna le cristallin. Deux humains ainsi qu'un étrange dragonnet se trouvaient également ici. L'un d'eux serrait l'elfe contre son cœur et baisait son front.
Méfalar s'approcha et posa sa main sur le coup du dragon, la gravité de ses blessures lui firent tout d'abord pressentir le pire, il ressentit cependant plusieurs pulsations...il y avait encore de l'espoir. Il monta rapidement sur la bête et put voir enfin avec précision les traits de l'elfe. Elle était très jolie, mais on visage n'était pas en paix, elle voulait vivre, elle se battait encore pour pouvoir faire ou dire quelque chose, la tranquillité de la mort n'avait pas apaisé ses traits. L'hybride posa sa main sur l'épaule de l'homme en noir, qui tenait toujours l'elfe dans ses bras, et lui envoya l'image d'une fleur aux pétales d'or qui se fane puis retrouve toute sa vitalité au contact de la main de l'hybride.

Hait'nir vit l'étrange elfe chercher le pouls de Flehta puis monter sur celui-ci pour rejoindre Maxas et Estarah, l'espoir rejaillit en lui lorsqu'il vit l'image que l'étrange humanoïde avait envoyé à Maxas pour qu'il le laisse s'occuper d'Estarah, Hait'nir s'empressa d'envoyer une pensées réconfortante à son dragonnier

*Ne t'inquiète-pas, il va nous aider...*

Cependant Hait'nir n'était pas sûr de cet inconnu, il ne savait pas s'il était capable de sauver ses amis, l'angoisse succéda à l'espoir, et s'il échouait ? Et s'il s'était trompé sur ses intentions ? Le cristallin ferma les yeux et tenta d'apaiser ses craintes en se disant qu'a présent il ne pouvait qu'attendre...

L’ombre se glissa le long de la paroi, elle ne faisait pas plus de bruit que l’eau dévalent les ruine de la citée. Ses griffes étaient solidement accrocher dans la pierre, tout son être tendu vers un seul but. L’humanoïde se trouvait juste devant elle, lui tournant le dos. Il était tendu lui aussi, il avait peur, elle pouvait le sentir, il avait peur de mourir… Les crocs de l’ombre scintillèrent un instant sous la lumière de la lune qui venait de réapparaître de derrière les nuages. L’orage était passer, et elle, n’allait pas tardée a frappé. Ses griffes, en se décrochent de la pierre, la trahirent, qu’importe, il était trop tard, l’homme sursauta, se retourna…Trop tard.

Le crie résonna dans toutes la citée, terrifiant. Il avait de quoi faire pâlir même l’homme le plus téméraire.

Les griffes s’enfoncèrent dans le sol, homme acculer contre le mur tentait de se dégager en hurlant. Mais la dragonne ne craignait plus les mots qui sortaient de la bouche de l’humain, elle était déjà hors d’atteinte. Ses yeux dorés river dans ceux du semi-humain elle souillait son esprit, comme lui avait souiller le sien. Elle ne prit pas en conte les injures, pas plus que les suppliques du pauvre bipède qui se tordait de douleur. Les yeux de l’écailleuse brillait d’une lueur surnaturelle, mauvaise, malsaine. Elle aimait entendre les cris de douleur de sa proie alors qu’elle pénétrait son esprit, qu’elle envahissait son inconscient, qu’elle s’appropriait peu a peu son âme. Il avait joué, dorénavant il était perdu dans quelques instant, plus rien ne lui appartiendrait. L’homme poussa encore un crie puis se tut, le regard vide, le corps inerte.

La dragonne se dégagea et recula un peu, regardant son œuvre. Non il n’était pas mort, il ne méritait pas la mort, pas encore… Il était conscient, un peu sonner voilà tout, il ne tarderait pas a recouvré ses esprits, tout du moins ce qu’il en restait.
Elle aurait put le détruire complètement, ne laisser qu’une coquille vide, mais il pouvait s’avérer utile.
Elle le regarda se relever, elle toléra même le regard plein de crainte qu’il lui lança. Il s’en remettrait et puis ce n’était qu’un avertissement. La lueur malsaine dans le regard de la dragonne c’était dissipé et elle affichait maintenant un calme serein. C’était un être intelligent il avait vite comprit ou était ses intérêts, et comme beaucoup, il n’était pas tellement presser de mourir. La lumière blanche enveloppa la dragonne et Narek refit son apparition, ses grands yeux dorée exprimant un certain amusement. Elle regarda l’humain et lui fit signe de se mettre en route. L’homme ravala sa fierté, courba l’échine et obéit. Il n’était pas pressé de renouvelée l’expérience a la quelle la dragonne c’était livré.

Orion marchait en tête, encore sonner par l’intrusion plutôt douloureuse de l’écailleuse dans son esprit. Sa main suivait les dessins de la pierre, son esprit était vide, douloureusement vide. Il peinait à aligner trois idées complexe à la suite, et sentait que son pouvoir mettrait du temps avant de refaire surface. Alors il se pliait au désir de l’écailleur qui avait apparemment décidé de le laisser en vie, quelque temps encore. Pour l’instant pas question de rechigner, il ferait ce qu’elle lui demanderait, quitte à piétiner ce qui lui restait de fierté. Avoir un dragon en balade dans son crâne faisait bien trop mal pour qu’il désire retenter l’expérience. Il se laissa donc docilement conduire et bientôt il distingua d’autres silhouettes, la dragonne désirait rejoindre ses compagnons ? Mais pourquoi ? La peur subite de se retrouvée tête a tête avec le cristallin le fit frémir, il émit un sont rauque, signe de sa désapprobation, mais la main de la jeune femme sur son épaule le fit taire. Puisqu’il n’avait pas la choit…
Il se résigna donc a se dirigé vers la petite compagnie, sans se douter de ce qui l’attendait.

Même si la situation était tragique, Roag ne s’empêcha pas d’observer l’étrange Elfe avec fascination. Il était apparu si soudainement, comme envoyé spécialement pour répondre à leurs prières. C’était intrigant. Qui pouvait-il bien être? Se tenait-il depuis longtemps, ici, dans cette citadelle en ruine? Et pourquoi donc les aidaient-ils? Quoi qu’il en fût, l’assassin en fut bien heureux. Mais par contre, Nyant sembla tout d’un coup bien agité en sa présence. Roag, qui se sentait de trop sur le dragon mourant, se laissa glisser pour retomber par terre souplement. Nyant vint aussitôt se blottir sur lui.

-Voyons, qu’y a-t-il?, dit-il à mi voix en passant une main apaisante sur son museau. Bien que rassuré pas la présence de l’homme, il était toujours craintif.

*Je… ne sais pas. Lui… Il… Il me fait peur.*

- Oh, ne t’en fais pas… Il ne peut pas être bien dangereux…

En réalité, Roag avait menti. Il semblait puissant. Et serait un allié intéressant. Il n’avait pas l’air hostile, au contraire, mais Roag, perspicace, se doutait qu’il n’était pas aussi bienveillant et affable que ça. Pour quelques secondes, l’assassin entendit l’appel de son ancien métier. Lui aussi avait une conscience plus sombre. Mais pourrait-il seulement continuer ainsi, à l’avenir?

HRP: Désolé Maxas, je prends un petit peu le contrôle, mais t'inquiète je te fais pas faire garnd chose...

Au contact de la main de l'hybride, le guerrier releva la tête, la stupéfaction de son visage ne surprit pas l'hybride. Le dragonnier reçut alors les pensées de son dragon ainsi que le message de l'étrange elfe. vaguement apaisé, il relâcha sa prise sur Estarah. Puis, son regard se promenant aux alentours, il aperçut, se dirigeant vers eux, la silhouette de Takarïn, précédée du satané mage qui avait causé tout ceci...La colère s'empara de lui. Il sauta à terre

-"Toi...t'es mal barré..."

Sur son côté, il aperçut Hait'nir qui avait précisément la même réaction. Ils marchèrent de concert vers les nouveaux arrivants, le flamboiement de leurs regards aurait fait fondre la pierre...

Méfalar, une fois le guerrier partit, avait fermé les yeux, et posé une main sur le cœur de l'elfe, l'autre sur le flanc du dragon. Faisant appel à toute son énergie magique, il exécuta à nouveau le sort qu'il avait lancé quelques heures auparavant, sur un Drow mourant. Le flux de magie quitta son enveloppe, pour venir gonfler le flux vital des blessés. Cela nécessitait bien plus d'énergie que précédemment, il y avait un dragon à soigné, il sentait que sa propre réserve ne serait pas suffisante. Intérieurement, il pria les deux Autres de l'aider dans son effort, après tout, c'étaient elles qui l'avait amenés ici. Leurs réponses lui parvint vite et sous la forme d'une gigantesque vague d'énergie positive et négative. Le déferlement fut tel, que ses cheveux furent rejetés en arrière comme sous l'effet d'une véritable bourrasque, un halo sombre l'enveloppa tandis que ses arabesque blanches se mettaient à rayonner. La respiration des deux êtres se stabilisa, leurs blessures s'estompèrent et disparurent. Cependant Méfalar ne s'en rendait pas compte, il était coupé de la réalité, sous l'effet de la fusion des forces, il s'était à nouveau retrouvé en Leur présence, dans cet endroit désert. Cette fois, Elles semblaient prêtes à parler. La Blanche prit la parole en première, sa voix douce et claire, tel un chant d'oiseaux au matin d'un printemps radieux , résonnant dans son esprit sans qu'un mot ne franchisse ses lèvres

*Bravo Méfalar, tu es parvenu à invoquer notre énergie sans perdre le contrôle...*

*Ce n'est pas tout à fait vrai...*, rectifia La Noire, grave et menaçante.

*Certes, il lui reste beaucoup à apprendre...*

*Nous ne sommes pas pressées...

Méfalar n'en revenait pas, elles lui adressaient enfin la parole, était-ce possible ? Non, ce devait être un rêve, une illusion de l'esprit, effet secondaire de son sorts de régénération...Mais si c'était vrai ? Si elles étaient réellement devant lui ? Si ils pouvaient leur parler ? Au prix d'un formidable effort, il parvint à poser une question:

*Est-ce que je rève ?

La Blanche lui sourit tandis que l'autre levait les yeux au ciel. Il en conclut que non, cela acheva de le bouleversé. Il ne parvint plus à articuler un mot, ouvrant et fermant la bouche comme un poisson hors de l'eau...

*Je crois que nous l'avons perturbé, railla la Noire , il n'est pas encore tout à fait prêt...*

*Mais il le sera le moment venu, pour l'instant il nous faut nous retirer, au revoir Méfalar...*

*Non attendez, ne me laissez pas seul...*

*Mais tu n'es pas seul...*

L'hybride fut brusquement rappelé à la réalité, le transfert était achevé, l'elfe et le dragon dormaient paisiblement. Méfalar se releva et se laissa glisser au sol. Il ressentit un mélange confus d'émotion, il était accablé de ne pas avoir put saisir cette chance, mais au fond de lui, il savait qu'il allait bientôt avoir ses réponses. Cette certitude l'emplissait d'une joie incommensurable. De son œil d'émeraude coula une larme, il la recueillie du doigt, c'était la première fois qu'il ne pleurait pas de tristesse...

Maxas continuait d'avancer vers les nouveaux arrivants.Sa démarche, en parfaite cooridination avec elle d'Hait'nir, produisit un effet menaçant qu'il eut le plaisir de voir transformer le visage du mage en un masque de terreur.

Ce n'est qu'une fois arrivée a une dizaine de metres qu'il réalise complétement la présence de Narek

-Narek? Ou était-tu passée? Et que fait-tu avec ce...monstre!

Il cracha son dernier mot, tout en tendant brusquement son bras gauche, la douleur a son épaule droite l'empechant toujours de faire des mouvements aussi bruques avec son autre bras.
Les trois fines lames de jet, placées dans un systeme complexe de poches secretes et de fils se tendant lors de la réalisation d'un geste bien préci sdu bras, se retrouverent dans la jambe gauche du mage, qui hurla de douleur.
Maxas reprit ses esprits et se remit a s'avancer vers le mage, il sentait la rage et la haine qui habitait Hait'nir, et tuer le mage tous de suite aurait été, non seulement trop bienfaiteur, mais également trop égoiste...

Orion fut parcourut d’un frisson de panique il recula d’un pas. Il allait se faire massacrer !
Il voulut se retourné plonger son regard rougeoyant dans les immenses disques dorés de la métamorphe. Mais la terreur paralysait tout son corps

« Laisse moi partir ! Ils vont… »

Takarïn considéra un instant encore le semi-humain, laissa Maxas passé ses nerf et regarda le mage, que la magie avait momen,tanément abandonné se tordre de douleur. Effectivement, il allait se faire massacrer mais elle ne voulait pas qu’on abîme son jouet, pas tout de suite.
Elle posa une main apaisante sur l’épaule du semi-humain mais ne fit rien pour apaisé la douleur. Se fut presque avec pitié qu’elle le regarda enlever la lame en serrant les dents. Il était courageux, n’avait trahi sa douleur que par surprise, il était visiblement habituer a se prendre des coup…amusent.
La dragonne jeta un regard inexpressif au guerrier, le fait que Maxas s’attaque à Orion, l’avait quelque peu, irrité, elle n’était pas prêteuse et Orion était son jouet.

Elle contourna le mage avec aisance et s’interposa comme si de rien n’était entre le dragon cristallin, son dragonnier et le mage. Il était hors de question qu’on lui abîme sa toute nouvelle acquisition.

« Le premier qui le touche auras une douloureuse surprise… »

Narek, eu un petit sourire de satisfaction, lors de sa visite de l’esprit d’Orion elle en avait profité pour apprendre les rudiments de langage qui lui manquait pour se faire comprendre. Et si c’était bien de la surprise qu’elle voyait maintenant se peindre sur le visage de Maxas, elle avait dut réussir a faire passer le message.

Elle jeta un regard intriguer vers le doré et sa cavalière fronça les sourcils.

« Que c’est il passer ici ? »

Orion regarda sa main pleine de sang, et jeta un regard haineux a Maxas, son visage lui disait quelque chose, il l’avait déjà vue quelque part…mais ou ?
Humanoïde se releva tant bien que mal. Et lâcha la dague de jet qui tomba au sol. Il était furieux, et n’avait qu’une envie : se venger de cet homme. Mais il ne dit rien, préférant fixer le dos de la dragonne qui avait eu l’amabilité de s’interposé. Même s’il savait que ce n’était pas par compassion il lui en était reconnaissant il voulait vivre encore un peu…

La réaction spontanée de Maxas fit esquisser aux babines du dragon un sourire carnassier. Le mage était à eux, c'était tout ce qui comptait pour le moment. Hait'nir continuait d'avancer sur l'humanoïde lorsqu'il vit Narek s'interposer. Le cristallin fut encore plus surpris lorsqu'il l'entendit élever la voix et la menace qu'elle proféra acheva de le déstabiliser, il se repris rapidement et voulut répliquer lorsqu'un un mouvement sur sa droite attira son attention, c'était l'étrange humanoïde qui était venu les aider. Le dragon réalisa alors que la puissance spirituelle d'Estarah et de Flehta s'était stabilisée, il tourna la tête et regarda le dragon d'or et l'elfe qui semblaient dormir paisiblement, il n'y avait presque plus aucunes traces de leurs blessures. Le dragon fut extrêmement, il pouvait se reporter sur le problème de ce mage en toute tranquillité.

En ramenant sa tête vers ce dernier, il croisa le regard troublant de l'elfe à la peau si étrange. Il eut aussitôt un flash, comme celui qui avait été envoyé à Maxas. Ce ne fut qu'une simple image, une fleur aux pétales d'or et qui resplendissait de milles feux. Hait'nir effleura l'esprit de l'humanoïde, délaissant l'apréhension que lui inspirait l'oeil sang, il exprima dans sa voix toute la reconaissance dont il était capable:

*Merci étranger d'avoir sauvé mes amis, comment t'appelle-tu ?*

*Méfalar*

*Moi c'est Hait'nir...Merci encore...*

Le dragon quitta l'esprit de son interlocuteur et se reporta sur l'objet de sa rage, cependant l'étrange inconnut se plaça entre le dragon et Narek et planta son regard dans celui de cette dernière. Le dragon s'arrêta et mettant sa colère de côté pour un temps, observa la scène.

Méfalar reçut les remerciements du dragon d'un hochement de tête puis se plaça devant l'elfe à l'esprit étrange qui protégeait ce mage qui semblait être responsable de la situation actuelle. Sans prêter attention à la menace ou la question de l'elfe qui s'était interposer entre le dragon, l'humain et le mage, l'hybride s'approcha de celui-ci. Apposant ses mains sur l'une de ses blessures, il concentra rapidement sa force spirituelle et comença à refermer les différentes plaies...Tout le monde alait trouver sa réaction étrange, mais qui en le trouvait aps étrange au premier coup d'oeil ? Il s'attendait à être interompu à tout moment, mais come lorsqu'il avait soigné le Drow avec cet étrange dragon d'ombre, Méfalar ne s'en souciat pas, il était persuadé qu'il devait le faire...

La dragonne sentie l’esprit de l’elfe bi colore. Sa curiosité s’éveillas, mais elle se garda bien de n’en laisser rien paraître c’est à peine si une lueur amusée traversa son regard quand l’elfe plongea son regard dans le sien. Elle retins avec difficulté l’envie d’happé l’esprit de l’humanoïde comme elle l’avait fait avec Orion, mais un petit quelque chose la retins. L’autre, bien que psychiquement instable était spirituellement puisant, elle ne pourrait pas voiler son esprit comme celui du semi humain derrière elle. Elle se contenta donc de se décaler pour laisser à l’elfe tout l’espace donc il avait besoin pour soigner Orion et de dresser des barrières solide entre elle et les différent membre de l’équipe, puisque visiblement l’elfe avait sut ce faire accepter.

Quoi ? Elle le protégeait d’un dragon mais laissait ce type bizarre l’approcher ? Orion regarda l’être s’approcher avec une certaine crainte, il en avait suffisamment bavé pour aujourd’hui ! Il voulait qu’on le laisse tranquille ! Pourtant il ne bougea pas et quand il réalisa que l’autre le soignait c’est une lueur de gratitude qui remplaça la crainte. Et puis…Il sentait la magie battre de nouveau dans ses veines, c’était bon signe ! Bientôt il pourrait partir d’ici, et faussé compagnie a la dragonne ! Mais pour l’instant il avait encore besoin de sa protection.

Il remercia l’elfe d’un murmure inaudible pour les autres, et ce força même a sourire a ce type qui lui paraissait plus que louche. Et aux quelles il n’avait par vraiment envie de dire merci. Vraiment trop bizarre, flippant même ! Pourtant il l’avait soigné, sans préjuger, donc…Bon, il pouvait bien faire un effort.

Habitant Nombre de messages : 241 Age : 28 Date d'inscription : 09/09/2007

Estarah sentit le flux d'énergie s'paiser, comme la brulure qu'elle ressentait. Une torpeur s'emprara de son esprit, mais elle tenta de résister.

"Non....." murmura-t-elle pour elle-même

Flehta, lui était moitié éveillé. Il ne se rappelait plus de grand chose, seulement de la douleur brûlante, puis de l'inconscience. Ses flancs se soulevaient avec beaucoup moins de difficulté, maintenant. Cependant, il n'avait pas su identifier la créature à qui il devait la vie. Une aura blanche mêlée à une noire entourait son esprit, et brouillait les certitudes du dragon. Il souleva une paupière et son oeil d'or brilla dans la pénombre. Il leva difficilement la tête et la secoua, comme pour chasser les mouches. Il vit Narek, de retour, avec un homme, et Hait'nir, Maxas. Et il y avait Celui-là. Sa peau d'entrelas gris dégageait une impression de ouissance respectueuse et de méchanceté. Cependant, la première aura dominait la seconde. Le dragon tourna la tête, apercevant le corps de sa dragonnière posé sur son dos. Il courba le cou et la prit délicatement par le col. Il l'allongea à terre devant lui, sans prêter attention aux autres. Puis, il se tourna vers Maxas, et plongea ses iris dorés dans ceux noirs de l'autre.

"J'irais chasser bientôt, et je te la confierais ce temps-là..."

Le message ne parvint qu'au jeune homme et à son dragon. Puis, Flehta se leva et observa le petit groupe avec une expression neutre. Il n'avait pas suivit les évènement, il els avit juste stoppé un instant, le temps que les regards suivent avec attention ses gestes. Tous les regards ? Pas tellement.....

Roag avait cessé de suivre la conversation de ses amis et s’était éloigné un peu plus loin. Il avait de nouveau mal à son bras. Ce n’était qu’une grosse égratignure, mais avait plus ou moins l’habitude de supporter la douleur. Il fit quelques pas pour grimper en haut d’une butte de terre. Il pleuvait beaucoup moins, l’orage semblait s’être éloigné, mais on entendait encore le tonnerre plus loin. Nyant le précédait, trottinant la queue entre les jambes, dépassé par les récents événements. Il était à l’orée de la forêt. De cet endroit, on apercevait d’étranges ruines. Des ombres s’élevaient lugubrement entre les pierres brisées. Mais quel était cet endroit? On n’avait pas besoin d’avoir de grandes facultés magiques pour sentir l’aura maléfique qui se dégageait de ce lieu. Mais tout était détruit. Pourquoi?

Entre temps, Roag avait été de plus en plus surprit par Narek. La voilà à présent douée de parole! Depuis quand? Pourquoi avait-elle refusé de parler, dans Fééris? Peut-être était-ce ces étranges métamorphoses qui avaient déclenché chez elle ce changements? Dans ses pensées, Roag se savait incapable de répondre à tous ces questionnements. Mais un jour, il aurait réponse à tout cela. Pour le moment, autre chose occupait son esprit.

Même si Narek leur interdisait formellement de toucher au mage, rien ne coûtait de l’interroger! L’assassin revint avec les siens, et fixa Orion avec un demi-sourire.

-Toi qui connaît sûrement bien les lieux maléfiques, quel sont ces ruines?

» halte à la lisière de la forêt
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